De Tomaso: fin?
Depuis une vingtaine d'années, De Tomaso est plus mort que vif. Le dernier investisseur, Gian Mario Rossignolo, a officiellement déposé le bilan, laissant 900 employés sur le carreau.
Depuis une vingtaine d'années, De Tomaso est plus mort que vif. Le dernier investisseur, Gian Mario Rossignolo, a officiellement déposé le bilan, laissant 900 employés sur le carreau.
Depuis une vingtaine d'années, De Tomaso est plus mort que vif. Le dernier investisseur, Gian Mario Rossignolo, a officiellement déposé le bilan, laissant 900 employés sur le carreau.
Rappel des faits. Après des années de coma, De Tomaso est ressuscité en 2008 par Rossignolo. Fin 2009, il rachète le site Pininfarina de Grugliasco.
Au salon de Genève 2011, De Tomaso présente le crossover Deauville, très inspiré par la série 5 GT.
A l'automne, les 119 millions d'euros de Rossignolo semblent insuffisants pour industriel le Deauville. C'est là qu'apparait le mystérieux fond d'investissement chinois Hotyork. Il apporterait 70 millions d'euros. En échange, la production serait transférée en Chine et le Deauville serait commercialisée par NAC (marque disparue depuis son rachat par SAIC en 2009.)
La suite, vous la devinez aisément. Hotyork disparait aussi vite qu'il est venu et les 900 employés (tous ex-Pininfarina) ne sont plus payés.
Pour Federico Bellono, du tribunal de commerce de Turin, la société sera purement et simplement dissoute. Même si Rossignolo affirme être en contact avec BMW.
Source:
A lire également:
De Tomaso Deauville: c'est fini... ou (re)commencerait en Chine
Depuis une vingtaine d'années, De Tomaso est plus mort que vif. Le dernier investisseur, Gian Mario Rossignolo, a officiellement déposé le bilan, laissant 900 employés sur le carreau.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.