En pleine crise, GM fut contraint de céder le contrôle de sa coentreprise à son partenaire chinois SAIC. Mais le groupe américain cherche à reprendre le contrôle des affaires et aurait négocié un reéquilibrage des parts au sein de Shanghai-GM.
En pleine crise, GM fut contraint de céder le contrôle de sa coentreprise à son partenaire chinois SAIC. Mais le groupe américain cherche à reprendre le contrôle des affaires et aurait négocié un reéquilibrage des parts au sein de Shanghai-GM.
En pleine crise et cherchant à dégager des fonds par tous les moyens pour éviter l'inévitable, GM cédait à SAIC un précieux petit pourcent de la co-entreprise Shanghai-GM. De 50/50, l'affaire devient 51/49 au bénéfice du groupe chinois, qui contrôle de fait la co-entreprise...
A présent GM voudrait reprendre le contrôle des opérations et a négocié un changement de fonctionnement avec SAIC. Les deux partenaires prévoient ainsi de scinder la coentreprise, avec d'une part les activités opérationnelles (usines, R&D...) et de l'autre les activités commerciales. La première serait à 50/50, et la seconde resterait détenue à 51% par SAIC. De quoi permettre au groupe chinois de quoi lui permettre de consolider les comptes de la co-entreprise avec les siens.
L'accord doit encore être validé par la municipalité de Shanghai, puis par le gouvernement central à Pékin. Une fois validé, ce changement pourrait se traduire par une extension des liens entre GM et SAIC, qui coopèrent déjà au développement de plateformes, moteurs, technologies hybrides et électriques, véhicules...
Source : Wall Street Journal
En pleine crise, GM fut contraint de céder le contrôle de sa coentreprise à son partenaire chinois SAIC. Mais le groupe américain cherche à reprendre le contrôle des affaires et aurait négocié un reéquilibrage des parts au sein de Shanghai-GM.
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