La rumeur d’une collaboration entre Mini et Rolls Royce ne date pas d'hier, et à vrai dire fait sens entièrement. Comme Fiat l’a fait avec l’Abarth 695 tributo Ferrari, BMW aurait eu tort de se priver de faire collaborer les deux entreprises les plus britanniques de son portefeuille. La Mini, toute compacte qu’elle soit, est tout à fait capable grâce à son image flatteuse d’incarner une version ultra-exclusive, beaucoup plus naturellement en tout cas que la bizarre alliance façon carpe et lapin d’Aston Martin et Toyota pour la curieuse Cygnet. Le fait de nommer la voiture Goodwood, sans faire référence explicitement à Rolls Royce, est de surcroit particulièrement astucieux, protégeant le constructeur de Goodwood de toute accusation de collusion plébéienne, un péché qui serait considéré capital par la clientèle, tout en ne laissant aucun doute sur la filiation.
L'essentiel de la spécificité de la Mini Inspired by Goodwood tient dans son intérieur, pensé chez Rolls-Royce et qui fait usage de teintes et de matériaux jusqu’ici exclusivement réservés aux berlines de Goodwood: beige Cornsilk pour le cuir, plaquage bois Walnut Burr, instrumentation façon Rolls... Le résultat est fort convaincant, réussissant à éviter le kitsch habituel de ce genre de transformation.
Pour l'extérieur, les signes distinctifs les plus évidents sont la teinte issue du nuancier Rolls Royce Diamond Black metallic (Reef Blue metallic est également disponible) et les roues de 17 pouces, accompagnés de sigles et détails en aluminium. C’est le 1,6l turbo de la Cooper S qui motorise la voiture, accouplé à la boîte mécanique ou automatique au choix, mais sans sa voyante écope de capot habituelle: on n'est pas chez les hooligans.
La voiture, qui sera assemblée à Oxford mais avec certains éléments en provenance de Goodwood, aura une production limitée à 1000 exemplaires livrables à partir du 1er trimestre 2012.
Et le prix ? Nous sommes chez Rolls Royce, voyons, on ne parle pas de ces choses-là.
Source : BMW
Goodwood ? Si vous pensez au Festival of Speed ou au Revival, vous faites fausse route. Goodwood, c’est aussi l’endroit ou Rolls Royce a pose ses batiments, et c’est de cela qu’il est question avec ce nouveau modele que Mini presentera en premiere mondiale a Shanghai.
La rumeur d’une collaboration entre Mini et Rolls Royce date de plusieurs mois, et a vrai dire fait sens entierement. Comme Fiat l’a fait via l’Abarth 500 tributo Ferrari, BMW aurait eu tort de se priver de faire collaborer les deux entreprises les plus britanniques de son portefeuille, d’autant que la Mini, toute compacte qu’elle soit, est tout a fait capable grace a son image flatteuse d’incarner une version ultra-exclusive, beaucoup plus naturellement en tout cas que la bizarre alliance facon carpe/lapin d’Aston Martin et Toyota pour la Cygnet. Le fait de nommer la voiture Goodwood sans faire reference explicitement a Rolls Royce est egalement bien vu, protegeant le constructeur de Goodwood de toute accusation de collusion plebeienne, un peche qui serait considere capital par la clientele, tout en ne cachant pas la filiation.
Toute la specificite de la Mini inspired by Goodwood tient dans son interieur, pense chez Rolls-Royce et qui fait usage de teintes et de materiaux jusqu’ici exclusivement reserves aux berlines de Goodwood. Le resultat est tres seduisant, reussissant a eviter le kitsch habituel de ce genre de transformation. Pas de doute, on sait y faire chez Rolls Royce…
Pour l’exterieur, le seul signe distinctif evident est le choix des roues, tandis que c’est le 1,6l turbo de la Cooper S qui motorise la voiture.
Mini construira 1000 exemplaires de la Mini Inspired by Goodwood, a un prix non divulgue mais qui devrait etre consequent, livrables a partir du 1er trimestre 2012.