Saab : vente des bijoux de famille pour régler les factures, le début de la fin ?
Comme un parfum tristement nauséabond de fin à la Rover flottant dans l'air... S'il est évidemment bien trop tôt pour tirer de telles conclusions, la situation actuelle de Saab n'est pas florissante pour un sou. Des sous, le constructeur au Griffon en manque. Beaucoup. Trop. Dans l'optique d'éponger partiellement sa dette afin de régler ses fournisseurs et pouvoir relancer la production, il se murmure avec insistance que le constructeur nordique chercherait à vendre une partie de ses actifs. Reste à savoir combien de temps pourra durer cette situation : injecter du cash frais ne dure qu'un temps...
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Comme un parfum tristement nauséabond de fin à la Rover flottant dans l'air... S'il est évidemment bien trop tôt pour tirer de telles conclusions, la situation actuelle de Saab n'est pas florissante pour un sou. Des sous, le constructeur au Griffon en manque. Beaucoup. Trop. Dans l'optique d'éponger partiellement sa dette afin de régler ses fournisseurs et pouvoir relancer la production, il se murmure avec insistance que le constructeur nordique chercherait à vendre une partie de ses actifs. Reste à savoir combien de temps pourra durer cette situation : injecter du cash frais ne dure qu'un temps...
Alors que les négociations se poursuivent toujours, notamment avec les autorités du pays, nouvelle orientation serait donnée afin de pouvoir reprendre la production. Une vision à très court terme pourtant...
Du côté de chez Saab on s'orienterait vers une vente (ou une hypothèque) de quelques actifs sans précision complémentaire sur la nature précise de ces actifs ou leur quantité. Et qui reviendrait en jeu ? Oui, le sieur Vladimir Antonov. L'opération financière passerait via deux organismes bancaires (un en Lituanie et l'autre en Lettonie). Vladimir Antonov serait également toujours disposé à investir 50 millions d'euros afin de prendre le contrôle de 30 % du capital. Tout ceci demanderait encore l'aval des autorités financières de Suède. Spyker, le propriétaire de Saab, a, par l'entremise de hauts dirigeants, confirmé l'existence de discussions avec une institution financière. Mais une fois l'opération réalisée et le cash frais généré, il faudra donc régler les fournisseurs pour pouvoir reprendre la production. Oui, mais, et après ?
Il y a plusieurs mois le scénario le plus noir avait été avancé avant l'arrivée de Spyker Cars. L'histoire semble se répéter. Là, a contrario, il s'avère moins évident que la conclusion soit identique. A suivre.
A voir également chez Saab. Galerie essai 9-5 TTiD Vector.
Source : Diverses.
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Comme un parfum tristement nauséabond de fin à la Rover flottant dans l'air... S'il est évidemment bien trop tôt pour tirer de telles conclusions, la situation actuelle de Saab n'est pas florissante pour un sou. Des sous, le constructeur au Griffon en manque. Beaucoup. Trop. Dans l'optique d'éponger partiellement sa dette afin de régler ses fournisseurs et pouvoir relancer la production, il se murmure avec insistance que le constructeur nordique chercherait à vendre une partie de ses actifs. Reste à savoir combien de temps pourra durer cette situation : injecter du cash frais ne dure qu'un temps...