Une nouvelle fois en l'espace de quelques semaines seulement, quelques jours même, la situation s'est détériorée chez le constructeur Saab. Dans l'incapacité financière de régler plusieurs de ses fournisseurs, le constructeur a dû se résoudre a encore interrompre la production."Le problème de production qui a illustré les difficultés financières du constructeur automobile Saab n'était qu'une petite anomalie à laquelle la compagnie survivra", avançait pourtant le propriétaire Spyker avant que la production ne redémarre avant donc d'être à nouveau mise entre parenthèses. Sans surprise, malheureusement pour le Griffon, la crise est bien plus sévère.
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Une nouvelle fois en l'espace de quelques semaines seulement, quelques jours même, la situation s'est détériorée chez le constructeur Saab. Dans l'incapacité financière de régler plusieurs de ses fournisseurs, le constructeur a dû se résoudre a encore interrompre la production."Le problème de production qui a illustré les difficultés financières du constructeur automobile Saab n'était qu'une petite anomalie à laquelle la compagnie survivra", avançait pourtant le propriétaire Spyker avant que la production ne redémarre avant donc d'être à nouveau mise entre parenthèses. Sans surprise, malheureusement pour le Griffon, la crise est bien plus sévère.
Hop, des factures impayées et les fournisseurs stoppent leur livraison. Voilà une situation qui s'est produite à au moins trois reprises en l'espace de quelques jours. Pas forcément engageant et rassurant quant à l'avenir de la marque. Pourtant, Victor Muller a tenu, comme il a pu, à rassurer en déclarant que "Saab n'était pas sur le point de s'effondrer". Oui, évidemment. Pourtant incertitude et inquiétude prennent de l'ampleur.
Manque de liquidités, capacité de production ne tournant pas (et de loin) à plein régime, conflits financiers avec les fournisseurs, perte financière : Saab travers de nouveau une mauvaise passe. Le rachat de la marque par Spyker n'aurait finalement il servi qu'à repousser l'échéance ?
Vladimir Antonov, exclu de toutes négociations pour des liens (dit-on) proches du milieu mafieux, toujours prêt à investir endossera-t-il les habits du sauveur potentiel (et encore, avec une enveloppe de 50 millions d'euros, la marque n'ira pas loin du tout, du tout..) ? Remarquez, depuis s'est-il peut-être racheté une virginité en sus de reprendre l'une des activités de Spyker... On ne parle pas non plus du développement de la remplaçante de la 9-3 ou de la future petite 9-1.
Pour clairement se sortir de cette vilaine passe, il faudra invariablement revoir en profondeur la structure capitalistique de la marque et assoir sa situation financière. Sauf que la situation connue et les atermoiements de la direction n'ont rien de franchement attirant. Alors spirale infernale passagère ou chronique d'une mort annoncée (dans l'hypothèse la plus ultime) ?
A voir également chez Saab. Galerie Saab 9-5 SportCombi au salon de Genève.
Source : Automotive News et Spyker.
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Une nouvelle fois en l'espace de quelques semaines seulement, quelques jours même, la situation s'est détériorée chez le constructeur Saab. Dans l'incapacité financière de régler plusieurs de ses fournisseurs, le constructeur a dû se résoudre a encore interrompre la production."Le problème de production qui a illustré les difficultés financières du constructeur automobile Saab n'était qu'une petite anomalie à laquelle la compagnie survivra", avançait pourtant le propriétaire Spyker avant que la production ne redémarre avant donc d'être à nouveau mise entre parenthèses. Sans surprise, malheureusement pour le Griffon, la crise est bien plus sévère.
