Un an après à la demande d'un client omanais, et, grâce à un autre client cette fois norvégien, une autre R est sortie des ateliers de l'aéroport d'Ängelholm et fera à nouveau un petit tour par les halls du Palexpo avant d'être livrée à son propriétaire.
Un an après sa présentation à Genève, la Koenigsegg Agera essaime. Elle a déjà donné naissance à une version R à la demande d'un client omanais, et, grâce à un autre client cette fois norvégien, une autre R est sortie des ateliers de l'aéroport d'Ängelholm et fera à nouveau un petit tour par les halls du Palexpo avant d'être livrée à son propriétaire.
La particule R est méritée grâce à une préparation particulière du V8 qui permet d'en sortir 1130 chevaux. Ce nombre à quatre chiffres fait bien sûr penser immédiatement à la Bugatti Veyron Super Sport. Mais si la Koenigsegg rend quelques dizaines de chevaux à la Bugatti, elle est nettement plus légère que le monstre de Molsheim : 1330 kg, soit un rapport poids puissance de 1,177 kg/ch, tout à fait dans le ton des dernières production de l'artisan suédois.
La nationalité de son propriétaire entraîne quelques particularités intéressantes pour ce modèle : l'option roues et pneus neige (8580 euros) et le porte-skis profilé en carbone, bon pour 300 km/h, qui contient deux paires de skis... Koenigsegg (20.620 euros). Ces options s'ajoutent au traitement R (154.700 euros) en sus du prix catalogue de l'Agera (1.025.000 euros). Une fois tous ces euros dépensés, il y a de quoi s'inquiéter de l'augmentation rapide du prix du carburant à la pompe. Pas de panique, toutefois, l'Agera R, comme les autres productions récentes de Koenigsegg, fonctionne très bien au bioéthanol.
Via Evo
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