Alors que la décision de reporter le Grand Prix de Bahreïn n'avait pas encore été prise, il se murmurait qu'une écurie envisageait de boycotter la course. Aujourd'hui on sait qu'il s'agit de l'équipe Williams, Adam Parr, son directeur général l'a déclaré au magazine Autosport.
Alors que la décision de reporter le Grand Prix de Bahreïn n'avait pas encore été prise, il se murmurait qu'une écurie envisageait de boycotter la course. Aujourd'hui on sait qu'il s'agit de l'équipe Williams, Adam Parr, son directeur général l'a déclaré au magazine Autosport.
Fort heureusement, les instances dirigeantes de la F1 et le Prince Héritier ont estimé que les conditions n'étaient pas réunies pour disputer un Grand Prix en toute sérénité et l'ont reporté à une date ultérieure. Il ne pouvait de toute façon en être autrement compte tenu du contexte.
"Le Prince a pris la bonne décision, mais même dans le cas contraire, je ne pense pas que nous y serions allés", a expliqué Adam Parr. "Il était assez évident pour tout le monde que la situation là-bas aurait empiré car nous aurions été une cible de choix pour des démonstrations de force et des troubles. Il y aurait eu tous les médias qui nous suivent, et c'est pourquoi je pense que la situation aurait tout simplement été incendiaire."
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Alors que la décision de reporter le Grand Prix de Bahreïn n'avait pas encore été prise, il se murmurait qu'une écurie envisageait de boycotter la course. Aujourd'hui on sait qu'il s'agit de l'équipe Williams, Adam Parr, son directeur général l'a déclaré au magazine Autosport.
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