La troisième génération de Mercedes SLK dévoilée
1996, 2011. 15 ans de carrière pourMercedes qui se respecte, à l'innovation...
1996, 2011. 15 ans de carrière pourMercedes qui se respecte, à l'innovation...
1996, 2011. 15 ans de carrière pour la SLK qui arrive à sa troisième génération, en restant fidèle à son concept initial, qu'elle continue à raffiner. Signe des temps, le sport se conjugue à l'économie de carburant, et comme toute Mercedes qui se respecte, à l'innovation...
Cette nouvelle génération du roadster SLK préserve les proportions traditionnelles ainsi que l'allure générale du modèle : long capot, habitacle rejeté à l'arrière, coffre court. Le style est toutefois entièrement nouveau et se singularise par sa calandre proéminente mettant fièrement en avant son étoile. Mercedes n'hésite pas à évoquer la 190 SL, mais surtout, et c'est plus évident, la SLS.
Un lien encore plus évident à l'intérieur, tant la planche de bord semble inspirer par le coupé haut de gamme. Mêmes aérateurs circulaires, même disposition des commandes et de l'écran sur la façade, même habillage de l'instrumentation, même dessin de planche creusée dans sa section centrale...
On retrouve à bord le système Airscarf de la précédente génération, ainsi qu'un nouveau dispositif qui pourra remplacer le filet anti-remous classique. Baptisé Airguide, il se compose de deux panneaux en plexiglas, ancré sur les arceaux. Ils pivotent aisément (manuellement) pour venir créer un dispositif anti-remous et protéger les occupants.
Le point central de l'habitacle est bien entendu le toit rétractable (Vario Roof en langage local) qui est proposé en trois versions : tôle couleur caisse, toit vitré surteinté, ou toit vitré avec dispositif Magic Sky Control, qui permet de faire varier son opacité sur simple pression d'un bouton... Un système électrochrome déjà vu sur la Ferrari Superamerica.
Côté châssis, Mercedes propose également trois versions. La version simple en acier, le châssis sport, ou le package Dynamic Handling, qui reçoit un amortissement variable, une direction active DirectSteer ainsi que la fonction de Torque Vectoring intégrée à la gestion des freins pour améliorer l'agilité au virage (à défaut de préserver la longévité des freins en question...). D'autres équipements d'aide à la conduite et de sécurité seront proposés, comme l'éclairage adaptatif en fonction des conditions de circulation ou encore l'assistant de limitation de vitesse qui détecte les panneaux de signalisation via une caméra.
Trois versions seront disponibles au lancement, toutes étiquetées BlueEfficiency avec leur Stop&Start. Deux variantes reçoivent un 4 cylindres 1.8 injection directe : SLK200 et SLK250. La SLK200 (184 ch) annonce un 0 à 100 km/h en 7 secondes et une vitesse maximale de 237 km/h dans sa version avec boîte automatique 7G-Tronic à 7 rapports. La consommation en cycle NEDC est de 6,1 l/100 km, soit 142 g/km de CO2. Avec 20 ch de plus, la SLK250 gagne 4 dixièmes sur l'épreuve d'accélération (6"6) et 3 km/h en vitesse de pointe (240 km/h). Elle ne réclame qu'un décilitre de plus (6,2 l/100km), soit 144 g/km pour ses émissions de CO2.
Le V6 3.5 reste disponible sur la SLK350 de 306 ch. Compter 5"6 en accélération, 250 km/h de vitesse maximale limitée, et une consommation de 7,1 l/100 km (167 g/km de CO2), en cycle mixte d'homologation toujours.
Les tarifs sont déjà annoncés pour l'Allemagne : SLK200 38.675€, SLK250 44.256,10€, SLK350 52.300,50€. Des tarifs qui pourront donc être légèrement différents en France (différence de TVA et d'équipements sélectionnés pour le pays).
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Source : Mercedes-Benz
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