1961-2011 : la Jaguar Type-E souffle ses cinquante bougies
par La rédaction

1961-2011 : la Jaguar Type-E souffle ses cinquante bougies

Marquant quasiment à elle seule en Perfide Albion la période des Swinging Sixties (comme le furent également la minijupe ou les Beatles), l'intemporelle Jaguar Type-E profitait du salon de Genève millésime 1961 pour s'exposer à la face du monde reprenant de série l'expérience du félin en compétition (Type-D) et suivant la lignée des XK. A cette époque du reste, un certain Enzo Ferrari déclarait, bluffé, découvrir là "la plus belle voiture du monde". C'est dire. 1961-2011 :  la Type E fête son cinquantième anniversaire.

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Marquant quasiment à elle seule en Perfide Albion la période des Swinging Sixties (comme le furent également la minijupe ou les Beatles), l'intemporelle Jaguar Type-E profitait du salon de Genève millésime 1961 pour s'exposer à la face du monde reprenant de série l'expérience du félin en compétition (Type-D) et suivant la lignée des XK. A cette époque du reste, un certain Enzo Ferrari déclarait, bluffé, découvrir là "la plus belle voiture du monde". C'est dire. 1961-2011 :  la Type E fête son cinquantième anniversaire.

Dans la lignée des XK, la première série de la Type E héritait aussi d'une structure monocoque partagée avec la Type-D tout en, une première chez Jaguar, recevant une suspension à quatre roues indépendante et encore quatre freins à disques.

Sur le plan mécanique, on retrouvait un 6 cylindres en ligne de 3.7 l libérant 269 ch (XK 150S) lui assurant des performances de premier plan comme une vitesse de pointe de 240 km/h. Bien moins chère que ses homologues italiennes par exemple, elle reçut d'emblée un accueil très positif.

Il en fut de même pour les médias du monde entier lesquels l'élurent à maintes reprises comme plus belle voiture de tous les temps. De l'art ? Peut-être. Elle fut du reste également exposée au Musée d'art moderne, le Moma, de New-York...

Au fil des quatorze années de production et différentes séries (1/2, 2, cabriolet, 2+2 ou encore série 3 marquant sa fin en 1975 avec un V12 5.3 l ), 70 000 unités virent le jour jusqu'à ce que la XJS ne reprenne le flambeau sans jamais jouir de l'aura de sa devancière.

Jaguar entend  marquer le demi-siècle du légendaire roadster britannique au salon de Genève et continuer à le célébrer au Goodwood Revival Festival, Concours d'Élégance de Pebble Beach, Nürburgring Old Timer Grand Prix, Silverstone Classic, etc.

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Source : Jaguar.

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Marquant quasiment à elle seule en Perfide Albion la période des Swinging Sixties (comme le furent également la minijupe ou les Beatles), l'intemporelle Jaguar Type-E profitait du salon de Genève millésime 1961 pour s'exposer à la face du monde reprenant de série l'expérience du félin en compétition (Type-D) et suivant la lignée des XK. A cette époque du reste, un certain Enzo Ferrari déclarait, bluffé, découvrir là "la plus belle voiture du monde". C'est dire. 1961-2011 :  la Type E fête son cinquantième anniversaire.

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