Depuis 2007, la situation financière de Pininfarina ne cesse de se détériorer avec des pertes cumulées de près de 400 millions d'euros. Désormais sous le contrôle de ses banques créancières, la firme turinoise commence à intéresser un certain nombres d'acquéreurs potentiels dont le Français Bolloré.
Pininfarina n'étant pas en mesure d'investir dans les outillages nécessaires à la production en série de la citadine électrique, Bolloré s'est rapproché du petit assembleur turinois Cecomp qui devrait produire les voitures du projet parisien Autolib'.
Pour autant les capacités de production de Cecomp sont plutôt limitées d'où l'idée de Vincent Bolloré de se porter acquéreur de Pininfarina basé à quelques kilomètres de là : "Il est possible que nous entrions au capital de Pininfarina. Il n'est pas exclu que l'on soit le bon partenaire pour eux (...) L'idée d'une alliance entre Cecomp et Pininfarina, (...) serait extrêmement intéressante selon nous" a indiqué l'homme d'affaires en fin de semaine.
Selon Automotive News, le canadien Magna serait également sur les rangs alors que la presse transalpine évoque plusieurs pistes en provenance de Chine ou d'Inde.
A voir également. Galerie Bluecar au Mondial de Paris.
Source: Les Echos
Vous cherchez un véhicule d'occasion ?
Retrouvez des milliers d’annonces sélectionnées pour vous aider à trouver le bon véhicule d’occasion.
Podcast Men Life
Pour résumer
Depuis 2007, la situation financière de Pininfarina ne cesse de se détériorer avec des pertes cumulées de près de 400 millions d'euros. Désormais sous le contrôle de ses banques créancières, la firme turinoise commence à intéresser un certain nombres d'acquéreurs potentiels dont le Français Bolloré.