Avec le matraquage publicitaire imposé par les constructeurs automobiles en cette fin d'année, nul ne peut ignorer que la prime à la casse instaurée par le gouvernement voici deux ans prendra fin le 31 décembre prochain. L'heure est donc venue de dresser le bilan de ce dispositif destiné à soutenir l'industrie automobile durant la crise.
Avec le matraquage publicitaire imposé par les constructeurs automobiles en cette fin d'année, nul ne peut ignorer que la prime à la casse instaurée par le gouvernement voici deux ans prendra fin le 31 décembre prochain. L'heure est donc venue de dresser le bilan de ce dispositif destiné à soutenir l'industrie automobile durant la crise.
Initialement prévue pour ne durer qu'un an pour un coût total de 220 millions d'euros, la prime a été prolongée d'une année tout en étant progressivement réduite. Au final, près de 600.000 primes seront versées en 2010 pour un montant de plus de 510 millions d’euros.
En 2009, l'Etat avait subventionné 514.017 véhicules neufs à raison de 1000 euros par véhicule détruit.
Le ministère de l'Industrie estime que cette aide a permis de maintenir les ventes de voitures neuves à un bon niveau. Le Comité des constructeurs automobiles (CCFA) table, en effet, sur environ 2,2 millions de nouvelles immatriculations en France en 2010.
Désormais les constructeurs vont entrer dans une période nettement moins favorable avec d'une part l'arrêt de la prime à la casse et d'autre part le durcissement des mesures de bonus écologique.
Avec le matraquage publicitaire imposé par les constructeurs automobiles en cette fin d'année, nul ne peut ignorer que la prime à la casse instaurée par le gouvernement voici deux ans prendra fin le 31 décembre prochain. L'heure est donc venue de dresser le bilan de ce dispositif destiné à soutenir l'industrie automobile durant la crise.
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