On connait l'engouement que suscite la Scuderia Ferrari en Italie. Mais après la défaite de Fernando Alonso au profit de Sebastian Vettel, la déception de l'autre côté des Alpes est à la mesure de la passion pour le petit cheval cabré: démesurée !
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On connait l'engouement que suscite la Scuderia Ferrari en Italie. Mais après la défaite de Fernando Alonso au profit de Sebastian Vettel, la déception de l'autre côté des Alpes est à la mesure de la passion pour le petit cheval cabré: démesurée !
Dès l'arrivée du Grand Prix, la presse sportive et généraliste italienne s'est déchaînée contre la stratégie développée par Ferrari à Abu Dhabi.
"C'est un désastre" a ainsi titré le journal Repubblica, imité par le site Internet de la Gazzetta dello sport qui évoque un "Final atroce" sur sa page d'accueil. Les exemples comme ceux-ci sont légions dans une presse transalpine réunie dans la déception.
Mais la polémique s'est étendue au-delà du monde médiatique et des amateurs de sport automobile depuis que Roberto Calderoni, ministre du gouvernement Berlusconi, a demandé la tête de Luca di Montezemolo: "En dépit de la capacité de l’excellent Fernando Alonso, Ferrari a réussi à perdre un championnat déjà gagné. Nous avons honte de cette stratégie et il (Montezemolo) est coupable. Il devrait quitter Maranello immédiatement afin qu’il ne nuise plus à Ferrari. Dans la soirée, nous attendons sa démission."
Des propos sans doute excessifs mais révélateurs de la pression subie par la Scuderia à longueur d'année et plus particulièrement dans la défaite.
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On connait l'engouement que suscite la Scuderia Ferrari en Italie. Mais après la défaite de Fernando Alonso au profit de Sebastian Vettel, la déception de l'autre côté des Alpes est à la mesure de la passion pour le petit cheval cabré: démesurée !