Land Rover Freelander 2011
par Nicolas Morlet

Land Rover Freelander 2011

Après les premières images apparues la semaine dernière tendaient à la montrer, les retouches sont plutôt discrètes, et visent surtout à donner un aspect plus cossu au plus petit des Land. Les arrangements techniques et mécaniques sont en revanche plus profonds, avec notamment l’arrivée de variantes deux roues motrices. Une première pour la marque, tout bénef’ pour les émissions de CO2.

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Après le Nissan X-Trail hier, c’est aujourd’hui au tour de l’un de ses concurrent de se repoudrer le nez : le Land Rover Freelander. Comme les premières images apparues la semaine dernière tendaient à la montrer, les retouches sont plutôt discrètes, et visent surtout à donner un aspect plus cossu au plus petit des Land. Les arrangements techniques et mécaniques sont en revanche plus profonds, avec notamment l’arrivée de variantes deux roues motrices. Une première pour la marque, tout bénef’ pour les émissions de CO2.

Ainsi donc, le Range Rover Evoque ne sera pas le premier Land Rover a recevoir une transmission classique, devancé de quelques mois par ce Freelander. Un choix rationnel pour la marque, puisqu’à l’en croire, à ce niveau de positionnement, les versions deux roues motrices représentent un quart du marché.

Le Freelander arrive également avec une toute nouvelle version respectueuse de l’environnement, baptisée eD4, équipée, comme les autres versions diesel d’ailleurs, d’un nouveau moteur diesel. Répondant aux normes Euro 5, il est disponible en version 150 chevaux sur les eD4 et TD4 ou 190 chevaux sur le SD4. Dans tous les cas, le couple gagne 20Nm par rapport à précédemment.

Le Freelander eD4 n’est disponible qu’en version deux roues motrices à boîte manuelle. Des choix techniques qui lui offrent l’avantage de faire baisser sa consommation moyenne en cycle normalisé à un impressionnant 6l/100km, soit des rejets de CO2 limités à 158gr/km. Cela représente tout de même une réduction de l’ordre de 11,7% par rapport à la précédente génération.

Mais le meilleur, c’est qu’en dépit de ses performances environnementales, cet eD4 conserve (d’après Land Rover), des performances similaires au TD4, soit 11,7 secondes pour atteindre les 100km/h et une vitesse de pointe de 179km/h.

Les autres versions ne sont pas en reste, puisque les TD4 et SD4 revoient également leur consommation et leurs rejets polluants à la baisse, établis à 6,2l/100km et 165gr/km pour le TD4 manuel, et 7,0l/100km et 185 grammes pour les TD4 automatique et SD4.

En essence, le moteur i6 à six cylindres en ligne passe lui aussi de la norme euro 4 à euro 5 et conserve ses 233 chevaux  et 317Nm. 8,9 secondes lui suffisent à atteindre les 100km/h et sa vitesse de pointe culmine à 200km/h.

Pour ce qui est des changements esthétiques, le Freelander reçoit des nouveaux boucliers avant et arrière, une nouvelle calandre disponible en Dark Finish sur le diesel 150 chevaux ou en Bright Finish sur l’essence et le SD4, le start&stop de série sur toutes les versions diesel manuelles ainsi que des poignées de porte couleur carrosserie tandis que de nouvelles jantes sont inscrites au catalogue des options.

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Après les premières images apparues la semaine dernière tendaient à la montrer, les retouches sont plutôt discrètes, et visent surtout à donner un aspect plus cossu au plus petit des Land. Les arrangements techniques et mécaniques sont en revanche plus profonds, avec notamment l’arrivée de variantes deux roues motrices. Une première pour la marque, tout bénef’ pour les émissions de CO2.

Nicolas Morlet
Rédacteur
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