Malgré un ades aides gouvernementales réclamées par la maison mère, leur verdict est tombé : négatif pour l'heure. Et le ministre de l'économie de confirmer une fois encore son scepticisme sur une issue positive.
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Malgré un accord salarial passé entre les syndicats et la direction du constructeur au Blitz ou encore les montants prêts à être débloqués par les Länders, la situation autour d'un soutien financier de l'état dans le plan de restructuration reste toujours très indécise. Alors que le conseil de pilotage du Deutschlandsfonds (fonds allemand d’aide aux entreprises) s’est réuni le 31 mai à Berlin pour discuter des aides gouvernementales réclamées par la maison mère, leur verdict est tombé : négatif pour l'heure. Et le ministre de l'économie de confirmer une fois encore son scepticisme sur une issue positive.
A l'occasion de la réunion évoquée en introduction, les membres du conseil se sont finalement prononcés contre l’attribution de 1,1 milliard d’euros d’aides gouvernementales allemandes pour restructurer Opel.
Pour justifier cet avis, le conseil a mentionné l’amélioration de la santé de General Motors, qui a dégagé des bénéfices au premier trimestre. La décision revient donc désormais au ministre de l'économie. "C'est un secret de polichinelle que je suis sceptique sur l'ensemble du dossier depuis le début", s'est exprimé Rainer Brüderle précisant attendre de nouvelles conclusions des experts travaillant sur le dossier et qu'il consultera évidemment Angela Merkel avant de faire connaître sa décision d'ici à la semaine prochaine.
Si l’Allemagne décidait ne pas accorder de subventions à Opel/Vauxhall, la maison mère pourrait revenir à ses plans initiaux. Conséquence potentielle ? Une casse sociale plus importante pour les usines allemandes de Bochum, Eisenach et Kaiserslautern.
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Malgré un ades aides gouvernementales réclamées par la maison mère, leur verdict est tombé : négatif pour l'heure. Et le ministre de l'économie de confirmer une fois encore son scepticisme sur une issue positive.