Essai Infiniti G37 cabrio face à ses rivales (1/3)
Dernière née de la gamme Infiniti, la G37 cabrio vient rejoindre le coupé et la berline du même nom, avec lesquelles elle partage beaucoup. Nous avons voulu la comparer à deux de ses rivales.
Dernière née de la gamme Infiniti, la G37 cabrio vient rejoindre le coupé et la berline du même nom, avec lesquelles elle partage beaucoup. Nous avons voulu la comparer à deux de ses rivales.
Tout d’abord, sa rivale « naturelle », la Lexus IS250C. Deux modèles qui déjà s’opposent par leur marques, toutes deux la griffe huppée d’un constructeur généraliste japonais. Ensuite, leur conception coupé-cabriolet est assez voisine avec une cinématique en trois parties. Leurs tarifs et équipements sont également assez voisins. Reste que la Lexus présente un déficit de 112ch par rapport à l’Infiniti. A voir donc si l’IS peut justifier son tempérament moins dynamique, sur le papier du moins, par d’autres arguments.
D’un autre côté, nous avons voulu comparer la G37 à une des références de la catégorie, l’Audi A5. Pour faire face au V6 3,7l musclé de la japonaise, il ne fallait pas moins que la plus sportive des versions du cabriolet aux anneaux, la S5. Une concurrente allemande au tarif bien plus élevé que la G37, qui offre ses charmes pour 10 000€ de moins. Une différence de philosophie, également, puisqu’Audi reste fidèle à la traditionnelle capote en toile. Un attribut traditionnel, de même que la ligne élégante de cette Audi qui évolue par petites touches depuis la 80 cabriolet.
Voici donc deux affrontements successifs (un comparatif ne rimerait pas à grand-chose, tant l’écart est important entre la Lexus et l’Audi), en commençant par un duel entièrement nippon.
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