Chaque lecture d’une plaque d’immatriculation faite par une caméra est stockée sur un serveur. Les données enregistrées par véhicules sont ensuite comparées à la vitesse limite de cette zone et un dossier violation de la limitation de vitesses composé de toutes les données du système et des images peut être ouvert s’il s’avère que le conducteur roulait à une vitesse proscrite.
Cette technologie pourrait être utilisée à longueur d’année sans aucune contrainte climatique pouvant altérer son bon fonctionnement. Rien ne permet d’affirmer actuellement que ce système sera utilisé dans les années à venir. Une nouvelle surveillance high-tech de ce genre n’est donc pas pour demain. Pas encore ? Tous les détails complémentaires sont à lire via ce lien.
Source : The Telegraph.