La Toyota Auris est plutôt transparente dans le paysage automobile. Ce n’est pas son restylage plutôt timide qui va changer les choses. Par contre, l’arrivée simultanée d’une version risque bien de lui donner des ailes.
Techniquement, celle-ci reprend le groupe motopropulseur de la Prius, à savoir le 1,8l VVT-i à cycle Atkinson associé à un moteur électrique, le tout développant 136ch. Plus compacte et donc positionnée en dessous de la Prius, cette Auris sera donc aussi moins chère, même s’il nous est pour le moment impossible de savoir dans quelles proportions. Esthétiquement, elle se distingue de sa sœur thermique par une calandre plus lisse et des logos ombrés de bleu. A l’intérieur, on retrouve le tout petit sélecteur de vitesse de la Prius. Quant aux modifications apportées à la gamme entière, elles concernent principalement les boucliers plus imposants (qui font gagner 25mm en longueur totale) et une amélioration globale des matériaux à l’intérieur. L’Auris est disponible avec deux moteurs essence (le 1,33l Stop & Start et 1,6l 132ch) et trois diesel (1,4 90ch, 2,0l 126ch et 2,0l 177ch Clean Power).
La Toyota Auris est plutôt transparente dans le paysage automobile. Ce n’est pas son restylage plutôt timide qui va changer les choses. Par contre, l’arrivée simultanée d’une version risque bien de lui donner des ailes.
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