Vente de Hummer : GM n'aurait pas bouclé le dossier
Jurisprudence Saab ou Opel : General Motors effectue un pas en avant puis un autre en arrière. Faute de pouvoir accorder ses violons avec la disparition programmée de sa division Hummer après des mois et des mois de dialogues (stériles) avec une ribambelle de repreneurs potentiels, sérieux ou fantaisistes. On pensait donc le sort de Hummer scellé. Que nenni selon le Wall Street Journal. Un nouveau feuilleton automobilo-industriel en prévision ? A première vue. Sauf qu'au générique, l'acteur Hummer n'a ni l'aura d'Opel ni le glamour de Saab.
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Jurisprudence Saab ou Opel : General Motors effectue un pas en avant puis un autre en arrière. Faute de pouvoir accorder ses violons avec le groupe de TP chinois Tengzhong, le constructeur US officialisait la disparition programmée de sa division Hummer après des mois et des mois de dialogues (stériles) avec une ribambelle de repreneurs potentiels, sérieux ou fantaisistes. On pensait donc le sort de Hummer scellé. Que nenni selon le Wall Street Journal. Un nouveau feuilleton automobilo-industriel en prévision ? A première vue. Sauf qu'au générique, l'acteur Hummer n'a ni l'aura d'Opel ni le glamour de Saab.
Selon le quotidien américain, les dirigeants de General Motors n'auraient pas encore tiré un trait définitif sur la vente de Hummer. Sans citer de noms ni de montants et encore moins de détails sur l'avancée (on peut en douter) des discussions, le Wall Street Journal rapporte que deux mystérieux candidats seraient encore en lice. Ou seraient arrivés sur le tard. Ou se seraient réveillés après l'échec des négociations entamées entre GM et Tengzhong. Faîtes votre choix.
Alors la marque Hummer sera-t-elle finalement sauvée comme le fut en son temps Saab ? Ou rejoindra-t-elle la cohorte des divisions condamnées appelées à disparaitre du paysage automobile mondial comme Pontiac ou Saturn récemment ?
Rappelons que lors de son offre ultime Tengzhong était prêt à aligner un minimum de 150 millions de dollars (sans que l'on sache ce qu'englobait précisément cette somme). Alors à suivre. Reste à se demander quel groupe sain d'esprit pourrait avoir des velléités d'achat d'une marque dont les ventes ne cessent de s'effondrer.
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Jurisprudence Saab ou Opel : General Motors effectue un pas en avant puis un autre en arrière. Faute de pouvoir accorder ses violons avec la disparition programmée de sa division Hummer après des mois et des mois de dialogues (stériles) avec une ribambelle de repreneurs potentiels, sérieux ou fantaisistes. On pensait donc le sort de Hummer scellé. Que nenni selon le Wall Street Journal. Un nouveau feuilleton automobilo-industriel en prévision ? A première vue. Sauf qu'au générique, l'acteur Hummer n'a ni l'aura d'Opel ni le glamour de Saab.