Essai Kia Sorento : il sait recevoir (2/3)
A bord aussi, le nouveau Sorento fait tout pour faire oublier la précédente génération. Finis donc les traits lisses et les inserts en faux bois, place à un habitacle dynamique soigné !
A bord aussi, le nouveau Sorento fait tout pour faire oublier la précédente génération. Finis donc les traits lisses et les inserts en faux bois, place à un habitacle dynamique soigné !
La première chose qui frappe lorsqu’on prend place derrière le volant du Sorento, c’est l’affichage des informations derrière le volant : trois gros cadrans chromés surmontés d’une épaisse casquette viennent presque donner l’impression d’être dans une voiture italienne, voire dans une voiture sportive. Une impression qui peut encore être amplifiée avec l’ajout d’inserts «imitation carbone» le long du tableau de bord et des portières. Pas de doute, l’ambiance quelque peu austère de l’ancienne mouture est bel et bien de l’histoire ancienne !
Le Sorento nouveau sait se faire accueillant : les sièges en cuir, bicolore dans le cas présent, sont accueillant et disposent de réglages électriques sur tous les plans et d’un réglage lombaire ajustable, mais les passagers arrière pourront se plaindre d’un manque de maintien en courbe (un défaut décidemment récurrent sur les SUV asiatiques). Pour le reste, les plastiques sont de bonne facture et à l’assemblage régulier.
Le dispositif multimédia n’est pas mal non plus. Doté de huit haut-parleurs, dont deux tweeters situés à chaque extrémité de la planche de bord, il délivre un son d’une grande qualité et permet de lire tous les formats. Le seul regret était de ne pas disposer de GPS intégré, indisponible pour l’instant. Une lacune qui sera gommée au cours de cette année. L’équipement est fourni avec, entre autres, les sièges chauffants, la climatisation bi-zone.
Comme quelques-uns de ses nouveaux concurrents, le Sorento est disponible en deux configurations : 5 ou 7 places. C’est la première des deux qui a retenu notre attention pour cet essai. L’espace pour les passagers progresse dans tous les sens puisque les occupants de la banquette arrière profiteront de 27mm supplémentaires au niveau des jambes, tandis et de sept au niveau des épaules. A l’avant, la largeur progresse de 10mm et les plus grands auront 14mm supplémentaires en hauteur pour se caser.
L’espace de chargement en profite également pour s’élargir, de 70 millimètres en profondeur, et pour gagner 98 litres par rapport à son prédécesseur. Le volume total passe donc à 531 litres, extensibles à 1.525 litres une fois la banquette rabattue. En configuration sept places, l’espace de chargement est réduit à 111 litres symboliques.
Côté sécurité, rien ne manque, le Sorento se dote de tous les dispositifs indispensables en la matière et se voit récompensé de cinq étoiles au crash test EuroNcap. Et pour les manœuvres, pas de problème, puisqu’une caméra de recul est fournie de série. Celle-ci renvoie son image dans un écran parfaitement intégré au rétroviseur central, totalement invisible lorsqu’il est éteint.
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