Tata nie des vues sur l'usine Fiat Termini Imerese
Fiat veut les rumeurs se succèdent sur d'éventuels repreneurs. Au terme de divers bruits, c'est le constructeur indien Tata qui prend la parole et, par le biais d'un porte-parole, se positionne clairement quant à une éventualité de reprise du complexe industriel.
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Fiat veut produire davantage en Italie à partir de cette année mais ne compte définitivement pas sur l'outillage et les salariés de Termini Imerese pour augmenter ce volume de production. L'usine condamnée dès l'année prochaine est donc dans le viseur de certaines compagnies étrangères. Dès lors les rumeurs se succèdent sur d'éventuels repreneurs. Au terme de divers bruits, c'est le constructeur indien Tata qui prend la parole et, par le biais d'un porte-parole, se positionne clairement quant à une éventualité de reprise du complexe industriel.
Si, par exemple, en Inde Tata et Fiat disposent d'une joint-venture dans la production des Grande Punto, Linea et Palio, aucun accord ne sera trouvé entre les deux groupes pour la vente et donc l'achat de l'usine Termini Imerese de Sicile.
A l'occasion du salon de New Delhi, un porte-parole a nié tous contacts. Mieux c'est ensuite le grand patron Ratan Tata qui a tordu le cou à ces rumeurs les qualifiant de totalement infondées. Certes des retournements de situation ne sont pas à exclure non plus.
Après que le constructeur chinois Chery a nié toutes vues sur le complexe, il ne resterait comme piste crédible que la solution Mahnidra&Mahindra pour l'heure faute de nouvelles pistes plus ou moins sérieuses. A suivre alors que pour Fiat c'est clair : juin 2011 verra la fin de son activité industrielle sur place.
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Pour résumer
Fiat veut les rumeurs se succèdent sur d'éventuels repreneurs. Au terme de divers bruits, c'est le constructeur indien Tata qui prend la parole et, par le biais d'un porte-parole, se positionne clairement quant à une éventualité de reprise du complexe industriel.