Ce qui n'était qu'un GM s'était installé sur place il y a plus de huit décennies et que la production de modèles Opel avait démarré au début des années 1950. Lors de sa période faste, le site comptait plus de 12 600 ouvriers. Au fil des ans ce nombre a diminué (10 000 en 1991 ou quelques 5 000 en 2005). Cette fermeture va entraîner la suppression d'environ 2 600 emplois directs.
Ce qui n'était qu'un secret de Polichinelle vient officiellement d'être confirmé : l'usine Opel d'Anvers est condamnée sur l'autel du plan de restructuration mené par le constructeur. L'activité de l'usine sera progressivement réduite tout au long de cette année. Rappelons que GM s'était installé sur place il y a plus de huit décennies et que la production de modèles Opel avait démarré au début des années 1950. Lors de sa période faste, le site comptait plus de 12 600 ouvriers. Au fil des ans ce nombre a diminué (10 000 en 1991 ou quelques 5 000 en 2005). Cette fermeture va entraîner la suppression d'environ 2 600 emplois directs.
"Nous comprenons pleinement l'impact que cette annonce aura sur nos employés à Anvers, et sur leurs familles, et nous sommes de tout cœur avec eux", annonce Nick Reilly, le CEO d'Opel, dans un communiqué de presse.
Et de poursuivre : "La décision n'a pas été prise à la légère. C'est malheureusement le résultat de la réalité économique actuelle. Nous devons faire cette annonce aujourd'hui afin d'assurer un avenir viable pour les activités d'Opel et de Vauxhall dans leur totalité".
Les salariés condamnés (appelés à faire preuve d'une mentalité de gagnant) apprécieront cette pensée émue de Nick Reilly à n'en pas douter. Nick Reilly de donner quelques chiffres complémentaires pour expliquer cette décision. "Afin d'assurer sa survie, Opel doit réduire sa capacité de production d'environ 20 %", précise-t-il. Selon diverses estimations, entre les salariés du site et les sous-traitants, un total de 5 000 emplois devrait disparaître.
Et la saignée n'est pas encore terminée rappelle le CEO d'Opel. "Il est prévu que le plan de restructuration complet aura une incidence sur tous les sites de production Opel et Vauxhall à travers des réductions de la production ou des licenciements", prévient Nick Reilly. La fourchette d'emplois supprimés oscille entre 8 300 et 9 000. En attendant les salariés concernés bloquent l'usine veillant précieusement sur "un trésor de guerre pour faire pression" commente un salarié. Quid de la production des différentes Astra assemblées sur place ? Pas de réponse.
A lire également. Opel Anvers : fermeture imminente et Plan emplois Opel : des chiffres complémentaires.
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Source : Opel.
Ce qui n'était qu'un GM s'était installé sur place il y a plus de huit décennies et que la production de modèles Opel avait démarré au début des années 1950. Lors de sa période faste, le site comptait plus de 12 600 ouvriers. Au fil des ans ce nombre a diminué (10 000 en 1991 ou quelques 5 000 en 2005). Cette fermeture va entraîner la suppression d'environ 2 600 emplois directs.
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