Si l'on étudie attentivement le Super GT, on s'aperçoit que les deux séries ont pas mal de points communs : format pensé pour les spectateurs entraînant un grand succès populaire, implication directe des constructeurs, professionnalisme à tous les niveaux, voitures silhouettes de haute technologie et règlement rendant les performances proches et les courses spectaculaires. Autosport rapporte qu'une délégation de l'ITR, les organisateurs du DTM, va se rendre au Japon pour discuter des possibilités de convergence entre les deux séries.
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Si l'on étudie attentivement le DTM et le Super GT, on s'aperçoit que les deux séries ont pas mal de points communs : format pensé pour les spectateurs entraînant un grand succès populaire, implication directe des constructeurs, professionnalisme à tous les niveaux, voitures silhouettes de haute technologie et règlement rendant les performances proches et les courses spectaculaires. Autosport rapporte qu'une délégation de l'ITR, les organisateurs du DTM, va se rendre au Japon pour discuter des possibilités de convergence entre les deux séries.
Le DTM prépare en effet un nouveau règlement et est toujours à la recherche du fameux troisième constructeur qui permettrait de pérenniser une série toujours à la merci du retrait de l'un ou l'autre protagoniste. Selon le site britannique, la convergence pourrait se faire sous la forme d'une mise en équivalence des performances des nouvelles voitures du DTM avec les GT500 japonaises ou bien par l'adoption par les Allemands d'un réglement technique proche du Super GT. Le passage au moteur avant obligatoire pour tous les participants au Japon la saison prochaine rendra les choses plus aisées, même si les autos actuelles du DTM n'ont pas la coque carbone de celles du GT500.
Le but recherché est en tout cas d'attirer un constructeur japonais en DTM, tout en favorisant la venue de voitures étrangères dans la catégorie reine du Super GT. Le succès d'estime de l'Aston Martin DBR9, pourtant larguée en performances, lors de ses quelques apparitions cette année au Japon montre que le public est demandeur.
L'idée est séduisante, mais ce ne sera pas simple : l'histoire du Super GT a montré que les organisateurs japonais n'ont jamais considéré sérieusement l'internationalisation de la discipline, et le DTM de son côté a eu son lot de querelles réglementaires. Il faudra beaucoup de bonne volonté de tous les côtés pour que ça fonctionne...
Images: Mercedes CLK engagée par HKS en JGTC 2002 et Toyota Celica engagée par Schnitzer en DRM 1979
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Si l'on étudie attentivement le Super GT, on s'aperçoit que les deux séries ont pas mal de points communs : format pensé pour les spectateurs entraînant un grand succès populaire, implication directe des constructeurs, professionnalisme à tous les niveaux, voitures silhouettes de haute technologie et règlement rendant les performances proches et les courses spectaculaires. Autosport rapporte qu'une délégation de l'ITR, les organisateurs du DTM, va se rendre au Japon pour discuter des possibilités de convergence entre les deux séries.