Essai BMW 525d Excellis Steptronic (3/4) : ... mais de vieux travers encore présents.
Fortement décrié dès 2001, lorsqu'il est apparu pour la première fois sur la Série 7 de précédente génération, le dessin "en double vague" de la planche de bord fait toujours son petit effet. S'il permet une implantation de l'écran multimédia au plus près du champ de vision du conducteur, on adorera ou détestera son extrème sobriété.
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Fortement décrié dès 2001, lorsqu'il est apparu pour la première fois sur la Série 7 de précédente génération, le dessin "en double vague" de la planche de bord fait toujours son petit effet. S'il permet une implantation de l'écran multimédia au plus près du champ de vision du conducteur, on adorera ou détestera son extrème sobriété.
C'est d'autant plus vrai avec la combinaison planche de bord noire, cuir noir et inserts en aluminium de notre voiture d'essai. On peut également déplorer le niveau de finition relativement moyen : les différents éléments semblent simplement juxtaposés les uns aux autres et certaines pièces, telles que les porte-gobelets ou les boutons de la facade technique, sont indignes de la catégorie... et du prix demandé.
Sur la console centrale trône le iDrive, cette fameuse molette rotative servant à controler les fonctions multimédia. Si son usage est extrèmement simple, l'abondance de menus et sous-menus oblige à quitter fréquemment la route des yeux. Conscient de ce problème, BMW ajoute désormais à la commande principale, différents boutons permettant, par exemple, un accès direct aux fonctions audio ou à la navigation.
L'espace aux places avant conviendra à la plupart des gabarits, même si certains pourraient être gênés par l'imposant accoudoir central. Les sièges offrent une large panoplie de réglages et la colonne de direction s'ajuste, naturellement, en hauteur et en profondeur, et ce sur une large amplitude. Quant à la banquette, elle accueillera sans difficulté deux adultes mais un éventuel troisième passager devra subir, d'une part l'imposant tunnel de transmission, et d'autre part l'accoudoir en guise de dossier.
Terminons pas le coffre qui offre un volume tout à fait correct (520 litres) et un accès facilité par une large ouverture. La banquette est rabattable et la trappe à ski et son sac de protection sont de série. Pour ceux qui souhaiteraient encore plus de volume, il est possible d'opter pour la version break, baptisée Touring, qui permet d'engloutir jusqu'à 1 650 litres.
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Fortement décrié dès 2001, lorsqu'il est apparu pour la première fois sur la Série 7 de précédente génération, le dessin "en double vague" de la planche de bord fait toujours son petit effet. S'il permet une implantation de l'écran multimédia au plus près du champ de vision du conducteur, on adorera ou détestera son extrème sobriété.