Depuis le début de l'année 2009, les acteurs majeurs du marché automobile russe demandaient avec insistance au gouvernement de mettre en place un dispositif similaire à la prime à la casse pratiquée sur de nombreux marchés européens. Hostile durant de nombreux mois à ce plan de soutien à la filière, le gouvernement russe vient de changer d'avis. Il était presque temps pour redonner un second souffle à un marché dont le bilan sur les dix premiers mois montre un recul de presque 50 % à 1,23 million d'unités écoulées.
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Depuis le début de l'année 2009, les acteurs majeurs du marché automobile russe demandaient avec insistance au gouvernement de mettre en place un dispositif similaire à la prime à la casse pratiquée sur de nombreux marchés européens. Hostile durant de nombreux mois à ce plan de soutien à la filière, le gouvernement russe vient de changer d'avis. Il était presque temps pour redonner un second souffle à un marché dont le bilan sur les dix premiers mois montre un recul de presque 50 % à 1,23 million d'unités écoulées.
Récession économique et crise de l'accès au crédit pénalisent lourdement le marché automobile russe depuis le début de l'année. Après de nombreux mois de dialogues entre les acteurs de la filière et le gouvernement, les autorités politiques viennent de confirmer par le biais du premier ministre Vladimir Poutine la mise en place de la prime à la casse.
Dans les faits, ce soutien financier se traduira par le versement d'une prime de 50 000 roubles (environ 1 150 euros) pour l'achat d'un véhicule neuf produit en Russie contre la mise à la casse de son véhicule de plus de dix ans. Les constructeurs locaux mal en point, dont AvtoVAZ, espèrent logiquement désormais que les consommateurs franchissent la porte des concessions. Le montant global ou la durée de ce plan et sa mise en action n'ont pas été détaillés.
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Depuis le début de l'année 2009, les acteurs majeurs du marché automobile russe demandaient avec insistance au gouvernement de mettre en place un dispositif similaire à la prime à la casse pratiquée sur de nombreux marchés européens. Hostile durant de nombreux mois à ce plan de soutien à la filière, le gouvernement russe vient de changer d'avis. Il était presque temps pour redonner un second souffle à un marché dont le bilan sur les dix premiers mois montre un recul de presque 50 % à 1,23 million d'unités écoulées.