On ne présente plus l'officine du fils de Soichiro Honda. Si Hirotoshi a tout d’abord préparé quelques motos, monoplaces ou barquettes, c’est avec l’arrivée de la Civic, en 1972 ,que Mugen va se lancer dans le développement des productions de la marque à des fins sportives. Les ateliers et le hall d’exposition se trouvent à Saitama. Une implantation qui ne doit rien au hasard, à deux pas du centre névralgique de Wako, permettant à Mugen de travailler en relation directe avec Honda. L’atelier de conception et développement reste interdit aux visiteurs. Pour ne pas révéler les prototypes en cours de réalisation, comme Olivier Panis, vainqueur au Grand Prix de Monaco 1996. Evidemment l’antre regorge de pièces spéciales présentées sur les murs et disponibles au comptoir. Même au Japon les tarifs restent "Mugen", mais il est toujours possible de repartir avec la brochure de sa voiture fétiche.
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On ne présente plus l'officine du fils de Soichiro Honda. Si Hirotoshi a tout d’abord préparé quelques motos, monoplaces ou barquettes, c’est avec l’arrivée de la Civic, en 1972 ,que Mugen va se lancer dans le développement des productions de la marque à des fins sportives. Les ateliers et le hall d’exposition se trouvent à Saitama. Une implantation qui ne doit rien au hasard, à deux pas du centre névralgique de Wako, permettant à Mugen de travailler en relation directe avec Honda. L’atelier de conception et développement reste interdit aux visiteurs. Pour ne pas révéler les prototypes en cours de réalisation, comme le CR-Z nous a t-on confirmé. Les abords et le hall concentrent plusieurs véhicules de démonstration et de compétition, sans compter les quelques Civic RR de clients venues se rafraîchir ou les concepts anciens. Quand au parking des techniciens et ingénieurs maisons, il témoigne incontestablement d’une grande passion pour le produit. Au centre du hall, si la RR Advanced tout en carbone tient la vedette de route, le visiteur français ne manquera pas de retrouver ému, aux côtés de la Jordan 198 de Damon Hill, la Ligier Mugen Honda JS43 d’Olivier Panis, vainqueur au Grand Prix de Monaco 1996. Evidemment l’antre regorge de pièces spéciales présentées sur les murs et disponibles au comptoir. Même au Japon les tarifs restent "Mugen", mais il est toujours possible de repartir avec la brochure de sa voiture fétiche.
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On ne présente plus l'officine du fils de Soichiro Honda. Si Hirotoshi a tout d’abord préparé quelques motos, monoplaces ou barquettes, c’est avec l’arrivée de la Civic, en 1972 ,que Mugen va se lancer dans le développement des productions de la marque à des fins sportives. Les ateliers et le hall d’exposition se trouvent à Saitama. Une implantation qui ne doit rien au hasard, à deux pas du centre névralgique de Wako, permettant à Mugen de travailler en relation directe avec Honda. L’atelier de conception et développement reste interdit aux visiteurs. Pour ne pas révéler les prototypes en cours de réalisation, comme Olivier Panis, vainqueur au Grand Prix de Monaco 1996. Evidemment l’antre regorge de pièces spéciales présentées sur les murs et disponibles au comptoir. Même au Japon les tarifs restent "Mugen", mais il est toujours possible de repartir avec la brochure de sa voiture fétiche.