Après la défection en masse des constructeurs européens et américains, il ne restait au Tokyo Motor Show qu'un contingent minimal de constructeurs étrangers, le plus important étant Hyundai. Le constructeur coréen est un fidèle de la manifestation, proximité oblige, même si les voitures particulières de marque coréenne restent une rareté au Japon. Hier, surprise, à trois semaines de l'ouverture, les organisateurs indiquaient que Hyundai vient de déclarer forfait.
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Ce revirement soudain ne laisse que deux constructeurs non japonais dans l'enceinte du salon : Lotus et Alpina, le constructeur/préparateur BMW. Hyundai a déjà payé plus de 10 millions de yens pour réserver l'emplacement, mais s'épargnera une somme encore plus importante en ne déplaçant pas ses voitures et ses structures jusqu'à Tokyo.
Les halls de Makuhari vont paraître bien vides comparés aux années précédentes, et il faudra compter sur les constructeurs locaux pour faire oublier l'absence du reste du monde...
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Après la défection en masse des constructeurs européens et américains, il ne restait au Tokyo Motor Show qu'un contingent minimal de constructeurs étrangers, le plus important étant Hyundai. Le constructeur coréen est un fidèle de la manifestation, proximité oblige, même si les voitures particulières de marque coréenne restent une rareté au Japon. Hier, surprise, à trois semaines de l'ouverture, les organisateurs indiquaient que Hyundai vient de déclarer forfait.