Vous aimiez Dallas ? Vous adorez forcément la saga Opel (...) !
Ce feuilleton digne de la plus épique des télénovelas brésiliennes pourrait faire sourire si le sort de 25 000 emplois directs un come back. Là un retour en grâce.
Ce feuilleton digne de la plus épique des télénovelas brésiliennes pourrait faire sourire si le sort de 25 000 emplois directs un come back. Là un retour en grâce.
Ce feuilleton digne de la plus épique des télénovelas brésiliennes pourrait faire sourire si le sort de 25 000 emplois directs Opel en Allemagne (sans compter ceux de sa jumelle britannique Vauxhall par exemple) n'était pas en question dans le dossier Opel. Tiens, du reste, pourquoi ne pas créer une nouvelle rubrique sur le blog auto tant les épisodes se succèdent à un rythme échevelé depuis l'annonce par General Motors de céder sa filiale européenne au Blitz. Simple proposition. Entre le sujet publié ce matin et celui-ci de nouveaux faits émaillent l'actualité. Ici un come back. Là un retour en grâce.
Deux sources, l'une allemande, l'autre italienne, donnent quelques nouvelles du feuilleton Opel. Primo côté italien, selon le quotidien La Reppublica, Fiat pourrait de nouveau entrer dans la course au rachat d'Opel. "Fiat refuse de d'exprimer sur ce dossier mais elle n'a pas clos le chapitre", s'est confiée une source au média italien. Fiat reviendrait donc dans le jeu sans revoir son ultime offre déposée.
Du côté de Turin on affirme toujours offrir les meilleures garanties à long terme en se basant sur "un véritable plan industriel". De ce dernier plan déposé il y a plusieurs semaines du reste, rien n'a filtré sur la coupe dans les effectifs ou la sauvegarde des quatre sites industriels Opel en Allemagne. On voit pourtant mal comment après la dernière clôture des dossiers officiels, GM pourrait de nouveau ouvrir la porte au constructeur italien. Enfin, après tout...
Secundo, du côté de Berlin où le "tout sauf GM" semble désormais prévaloir. Selon Bild, Angela Merkel en personne aurait pris contact avec le négociateur en chef du dossier et vice-président de GM, John Smith, pour lui indiquer qu'elle ne s'opposerait plus catégoriquement à la vente d'Opel au au fonds d'investissement RHJ. Berlin serait prêt à reconsidérer sa position (et donc soutenir financièrement) si RHJ International s'associait à un partenaire stratégique fortement implanté dans le "secteur automobile". De là à crédibiliser un hypothétique ticket RHJ/Fiat...
A lire également. General Motors compte toujours vendre Opel... Ou pas et Magna reprendra Opel.
Source : Bild, La Reppublica et Reuters.
Ce feuilleton digne de la plus épique des télénovelas brésiliennes pourrait faire sourire si le sort de 25 000 emplois directs un come back. Là un retour en grâce.
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