Selon le Wall Street Journal ainsi que diverses agences de presse visiblement dans la confidence, le constructeur américain Ford aurait décidé de freiner la candidats chinois améliorent leur offre. Info ou intox comme d'habitude.
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Selon le Wall Street Journal ainsi que diverses agences de presse visiblement dans la confidence, le constructeur américain Ford aurait décidé de freiner la vente de sa filiale européenne Volvo alors que les deux derniers repreneurs encore en lice proviendraient de l'empire du milieu. Ford serait en effet très attentif au déroulement du dossier General Motors / Opel avec l'espoir de voir peut-être l'un des candidats à la reprise débouté se rabattre sur Volvo ce qui se traduirait donc par RHJ International ou Magna et ses partenaires. Petit bémol : jamais ni l'une ni l'autre de ces deux parties n'ont jamais émis le moindre désir de prendre Volvo sous leurs ailes. Plus concrètement alors ceci pourrait plus logiquement se résumer à ce que les deux candidats chinois améliorent leur offre. Info ou intox comme d'habitude.
Acquis en 1999 pour quelques 6,45 milliards de dollars, Volvo est à vendre depuis la fin de l'année dernière. Ford a chiffré le ticket à 6 milliards de dollars quand les offres actuelles oscilleraient davantage autour des 300 millions de dollars. Léger hic.
Suite à diverses tractations et épisodes nombreux, le nombre de candidats potentiellement repreneurs a fondu pour se résumer à deux pistes sérieuses du côté de la Chine que Geely et BAIC. Aux dernières informations, Geely, associé à consortium d'investisseurs privés, avait même une longueur d'avance.
Une donnée à prendre au passé aujourd'hui alors que Ford freine le processus de vente. Les Américains souhaitent faire monter les enchères. BAIC, recalé dans le dossier Opel, pourrait donc revenir à la charge. Conditionnel. D'autres rumeurs indiquent également l'entrée en lice d'un fonds d'investissements européen sans en dévoiler l'identité.
Certitude : les candidats avaient jusqu'à la mi-juillet pour présenter leur dernière offre. Volvo semble plus en passe de devenir chinois si le repreneur reçoit l'aval, ainsi que le financement, des autorités compétentes du pays. Resteront alors plusieurs questions. Quid du prix de vente final ? Quid des droits de propriété intellectuelle ? Quid de l'indépendance à court terme de Volvo ? Quid des sites de production ? "Il ne faut rien attendre avant trois ou quatre semaines", conclut le Wall Street Journal en précisant l'attitude de Ford. Alors attendons.
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Selon le Wall Street Journal ainsi que diverses agences de presse visiblement dans la confidence, le constructeur américain Ford aurait décidé de freiner la candidats chinois améliorent leur offre. Info ou intox comme d'habitude.