Essai New Beetle cabrio 1.9 TDI : le coeur a ses raisons... (1/3)
On ne présente plus la Volkswagen New Beetle puisqu’il y a plus de dix ans (déjà) qu’elle balade sa bonne bouille au détour de nos routes. C’est avec elle aussi qu’est née, ou du moins qu’est devenue une réalité commerciale, la mouvance néo-rétro dans l’automobile. C’était en 1998. Depuis, la «Cox des temps modernes» n’a que peu évolué mais a tout de même su s’adapter et répondre aux exigences très européennes en matière de motorisations, en s’équipant d’un bloc diesel, même dans cette déclinaison cabriolet des plus séduisantes.
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Je le disais en introduction, il y a plus de dix ans déjà que La New Beetle à été lancée (en version 3 portes, le cabriolet n’étant apparu que plus tardivement, en 2003) et pourtant, je me souviens de l’engouement provoqué par sa présentation. Quatre ans plus tôt, Volkswagen présentait le Concept 1, qui définissait très précisément les lignes du modèle définitif mais qui n’était à l’époque. C’est suite à la pression de la presse et des visiteurs que VAG décidera de lui faire prendre le chemin de la production. Présentée au Salon de Détroit 1998, elle s’imposa cette année là comme la coqueluche incontestée du Salon. Partout, on ne voyait qu’elle.
Cette voiture porte en elle tout l’héritage de celle qui fut baptisée affectueusement «Coccinelle» chez nous encore très chère à de nombreux conducteurs à travers le monde, et à l’immense notoriété aux Etats-Unis grâce, entre autres, à la célèbre série de films dont elle est la vedette. Bon, bien sur, le moteur se trouve maintenant à l’avant et le coffre à l’arrière, mais l’on retrouve la forme ovoïde de la partie destinée aux occupants et une partie avant avec ses larges ailes incluant les phares. Bien entendu, canons esthétiques et époque obligent, plus question de feux dépassants à l’arrière ou de gros pare-chocs métalliques mais une apparence «lissée» faite de phares ronds intégrés aux ailes arrière et de boucliers peints. Néanmoins, tous les gênes stylistiques de son ancêtre sont bien présents. Cette variante cabriolet va même plus loin dans le rétro en proposant une capote qui se replie simplement de manière apparente derrière les sièges arrière, tout comme son aïeule.
Depuis, la New Beetle n’a rien perdu de son charme ni de ses formes puisque le lifting dont elle a fait l’objet en 2005 était pour le moins léger : nouveaux boucliers, feux arrière intégrant un encart argenté et clignotants avant désormais rectangulaires. C’est tout. Pas de quoi dénaturer une auto, donc. Depuis son lancement, plus d’un million de New Beetle ont été produites à Puebla, au Mexique, et la prochaine génération semble dans les starting blocs, même si très peu d’infos, souvent contradictoires, ont pour l’instant filtré.
Bien sûr l’association cabriolet – diesel fait toujours se dresser les cheveux sur la tête de certains de nos lecteurs, et sans doute plus encore dans le cas de cette «voiture passion» qu’est la New Beetle, que pour une Eos. A tort ou a raison ?
Essai New Beetle cabrio 1.9 TDI : ...que le raison ignore (2/3)
Essai New Beetle cabrio 1.9 TDI : En route !
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Pour résumer
On ne présente plus la Volkswagen New Beetle puisqu’il y a plus de dix ans (déjà) qu’elle balade sa bonne bouille au détour de nos routes. C’est avec elle aussi qu’est née, ou du moins qu’est devenue une réalité commerciale, la mouvance néo-rétro dans l’automobile. C’était en 1998. Depuis, la «Cox des temps modernes» n’a que peu évolué mais a tout de même su s’adapter et répondre aux exigences très européennes en matière de motorisations, en s’équipant d’un bloc diesel, même dans cette déclinaison cabriolet des plus séduisantes.