F1 : McLaren en sursis
par Nicolas Morlet

F1 : McLaren en sursis

C'était aujourd'hui que le conseil mondial de la FIA examinait le dossier de "l'affaire du Grand Prix d'Australie". Souvenez-vous : à l'issue de la course, Lewis Hamilton héritait de la troisième place grâce à la disqualification de Jarno Trulli qui l'aurait doublé sous drapeau jaune... avant d'être disqualifié à son tour pour mensonge, après que les commissaires eurent écouté les conversations radio entre Hamilton et son équipe, McLaren Mercedes. Le verdict est tombé : trois courses de suspensions, mais avec un sursis de 12 mois.

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C'était aujourd'hui que le conseil mondial de la FIA examinait le dossier de "l'affaire du Grand Prix d'Australie". Souvenez-vous : à l'issue de la course, Lewis Hamilton héritait de la troisième place grâce à la disqualification de Jarno Trulli qui l'aurait doublé sous drapeau jaune... avant d'être disqualifié à son tour pour mensonge, après que les commissaires eurent écouté les conversations radio entre Hamilton et son équipe, McLaren Mercedes. Le verdict est tombé : trois courses de suspensions, mais avec un sursis de 12 mois.

La suspension pour trois Grand Prix ne sera donc effective qu'au cas où l'écurie anglo-saxonne ne récidiverait dans les douze prochains mois. Martin Whitmarsh, le nouveau PDG de l'équipe depuis le départ de Ron Dennis, peut donc s'estimer heureux car la FIA semble avoir été plus clémente cette fois qu'elle ne l'a déjà été par le passé avec son team.

Ce verdict devrait donc apaiser les esprits chez Mercedes Motorsport et soulager l'équipe McLaren, mais aussi les écuries "clientes" Brawn GP et Force India, car Mercedes avait annoncé envisager sérieusement un retrait de la F1 en cas de "sanction inappropriée".

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C'était aujourd'hui que le conseil mondial de la FIA examinait le dossier de "l'affaire du Grand Prix d'Australie". Souvenez-vous : à l'issue de la course, Lewis Hamilton héritait de la troisième place grâce à la disqualification de Jarno Trulli qui l'aurait doublé sous drapeau jaune... avant d'être disqualifié à son tour pour mensonge, après que les commissaires eurent écouté les conversations radio entre Hamilton et son équipe, McLaren Mercedes. Le verdict est tombé : trois courses de suspensions, mais avec un sursis de 12 mois.

Nicolas Morlet
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