Aussi emblématique que l’est le cabriolet pour SAAB (essayé par l’autre Nicolas) est le break pour Volvo. Il était donc naturel, pour découvrir les propositions des deux constructeurs en moteurs Flexfuel, d’essayer également le V70 2,5FT, motorisation récemment ajoutée à la gamme.
Aussi emblématique que l’est le cabriolet pour SAAB (essayé par l’autre Nicolas) est le break pour Volvo. Il était donc naturel, pour découvrir les propositions des deux constructeurs en moteurs Flexfuel, d’essayer également le V70 2,5FT, motorisation récemment ajoutée à la gamme.
Ce modèle est le concentré parfait de l’identité de Volvo. Le V70, le break plus imposant de la gamme, est issu d’une longue lignée. Il dispose dans notre version d’essai d’un moteur cinq cylindres, autre spécialité Volvo. Enfin, on y retrouve un intérieur typiquement suédois.
Extérieurement, le V70 est donc très proche de son prédécesseur. Calandre rectangulaire enveloppée dans un volume en saillie, épaulement marqué, volume arrière parallélépipédique, feux arrière verticaux (un classique depuis le break 850)… Pas d’immense surprise à attendre de cette génération. Peut-être est-ce un bien, tant son élégance classique en fait un des breaks les plus harmonieux du marché. Dans le cas de la finition Summum que nous avions en main, l’entourage chromé des vitres rajoute un soupçon de luxe au style général. Bref, le V70 est d’un luxe sans ostentation. Quant à son fonctionnement alcoolique, rien ou presque pour le déceler vu de l’extérieur, si ce n’est le badge « 2,5FT » apposé sur le hayon.
Galerie de l'essai (58 photos) :
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Aussi emblématique que l’est le cabriolet pour SAAB (essayé par l’autre Nicolas) est le break pour Volvo. Il était donc naturel, pour découvrir les propositions des deux constructeurs en moteurs Flexfuel, d’essayer également le V70 2,5FT, motorisation récemment ajoutée à la gamme.
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