Les menaces avancées par le président de Tom LaSorda martelait que son groupe pourrait tout bonnement quitter le sol canadien si l'ensemble de leurs requêtes n'étaient pas suivies par le gouvernement canadien, les responsables syndicaux ainsi que les salariés. Les réactions n'ont évidemment pas tardé. Divers responsables montent ainsi au créneau pour opposer leur mécontentement (timide euphémisme). A tendre le bâton pour se faire battre...
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Les menaces avancées par le président de Chrysler Canada passent mal, très mal même. Flash-back. Il y a une poignée de jours Tom LaSorda martelait que son groupe pourrait tout bonnement quitter le sol canadien si l'ensemble de leurs requêtes n'étaient pas suivies par le gouvernement canadien, les responsables syndicaux ainsi que les salariés. Les réactions n'ont évidemment pas tardé. Divers responsables montent ainsi au créneau pour opposer leur mécontentement (timide euphémisme). A tendre le bâton pour se faire battre...
L'économiste du Syndicat des travailleurs canadiens de l'automobile (TCA) ne mâche pas ses mots. "C'est tout simplement du chantage ni plus ni moins. Comment entamer de la sorte des négociations ?", contre-attaque Jim Stanford en réponse aux menaces de Tom LaSorda. Quant à Rick Laporte, représentant des syndicats de l'usine Windsor de Chrysler, sa réaction est encore plus virulente. "Menacer de la sorte des travailleurs qui se battent au quotidien pour assurer la survie de leur site et du groupe est révoltant."
Le président national du TCA ne changera pas son fusil d'épaule. L'accord signé avec GM devrait faire une simili "jurisprudence". Extrait. "Ce qui vaut pour GM vaut évidemment pour Chrysler. Point", déclare ainsi Ken Lewenza. Enfin la réaction des autorités politiques du gouvernement Harper ne permettent pas non plus de voir une sortie de crise imminente. Il n'y aura tout simplement pas deux poids deux mesures entre le soutien financier à un constructeur par rapport à l'autre. "Les contribuables ne comprendraient pas à juste titre si nous devions changer les règles d'un groupe à l'autre. En clair, nous n'allons pas changer les règles pour Chrysler", confirme Tony Clement, le ministre de l'industrie.
La reprise des néogications entre les différents acteurs interviendra dans le courant de cette semaine. Quant à Tom LaSorda il a répété que l'accord entre le TCA et GM était tout à fait "inacceptable" et que son groupe n'allait sûrement pas s'aligner. Retour à la case départ ?
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Les menaces avancées par le président de Tom LaSorda martelait que son groupe pourrait tout bonnement quitter le sol canadien si l'ensemble de leurs requêtes n'étaient pas suivies par le gouvernement canadien, les responsables syndicaux ainsi que les salariés. Les réactions n'ont évidemment pas tardé. Divers responsables montent ainsi au créneau pour opposer leur mécontentement (timide euphémisme). A tendre le bâton pour se faire battre...