Essai Land Rover Defender SVX : Présentation (1/5)
L’indémodable et increvable série spéciale SVX. Une bonne occasion de prendre en main cette véritable institution roulante.
L’indémodable et increvable série spéciale SVX. Une bonne occasion de prendre en main cette véritable institution roulante.
L’indémodable et increvable Defender fêtait en 2008 ses 60 ans d’existence. Pour célébrer comme il se doit cette longévité exceptionnelle dans le monde automobile, Land Rover lui a offert une série spéciale SVX. Une bonne occasion de prendre en main cette véritable institution roulante.
Petit retour en arrière : à la sortie de la seconde guerre mondiale, le gouvernement britannique encourageait ses constructeurs automobiles à chercher de nouvelles idées pour leur permettre de se relancer. Un ingénieur de chez Rover avait remarqué que la Jeep américaine rendait de fiers services aux populations civiles et eut l’idée d’en construire une version européenne. Le véhicule se devait d’être pratique, à l’aise sur toutes les surfaces et peu onéreux à produire, donc de conception simple. Présenté pour la première fois au Salon d’Amsterdam (!) en 1948, le «Land» ne sera rebaptisé Defender qu’en 1990 avec l’élargissement de la gamme et l’implantation d’un nouveau diesel. Un changement de nom qui n’a en rien modifié la philosophie de l’auto.
La dernière évolution en date est intervenue en 2007. Si la ligne n’a pratiquement pas évolué (l’œil avisé remarquera tout de même la bosse sur le capot), le moteur est lui tout nouveau. Il s’agit du 2.4l turbodiesel à rampe commune de 122 chevaux provenant de chez Ford. Une première pour le Land, d’autant qu’il est couplé à une boîte de vitesses à six rapports.
L’indémodable et increvable série spéciale SVX. Une bonne occasion de prendre en main cette véritable institution roulante.
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