Enfin une nouvelle réjouissante après des semaines d'incertitude au-dessus de l'entreprise norvégienne Think. Un temps en grosses difficultés de trésorerie, la société, qui venait de recevoir une ligne de crédit de 40 millions de couronnes (environ 5,7 millions d'euros) par Ener1 l'un de ses fournisseurs, annonce la levée partielle du chômage technique.
"Il s'agit de la première étape qui devrait rapidement nous conduire à reprendre le chemin de la production", se satisfait le petit constructeur norvégien dans un communiqué. Le plan de chômage technique touchant les deux cents salariés du groupe, devant au moins se tenir jusqu'à la fin du mois de janvier, a donc été levé permettant aux salariés de retrouver le chemin de l'usine industrielle. La production devrait sans nul doute reprendre dès le début de la semaine prochaine
Think qui tablait sur la production de 10 000 unités de sa petite citadine 100 % électrique au cours de l'année ne pourrait pas atteindre ce chiffre en raison des différents retards.
A contrario, grâce à cette ligne de crédit, le ciel se dégage au-dessus de la firme. Nouvel objectif désormais ? "La recherche d'investisseurs à long terme dans l'optique de dénicher des financements durables", avance le constructeur. Ce redémarrage booste de nouveau les ambitions de développement de Think et notamment sur le marché américain.
Rappelons que l'an dernier, à travers un partenariat signé avec deux fonds d'investissement, la filialeThink North America avait vu le jour. Mis entre parenthèses depuis par la faute de ces soucis pécuniaires, le projet devrait rebondir rapidement. Sur le calendrier de Think figure en effet à l'année 2010 la commercialisation de son modèle sur le territoire US.
Enfin une nouvelle réjouissante après des semaines d'incertitude au-dessus de l'entreprise norvégienne Think. Un temps en grosses difficultés de trésorerie, la société, qui venait de recevoir une ligne de crédit de 40 millions de couronnes (environ 5,7 millions d'euros) par Ener1 l'un de ses fournisseurs, annonce la levée partielle du chômage technique.