Le constructeur français présent au Brésil appuie violemment sur la pédale de frein et annonce un plan historiquement jamais enregistré en terre auriverde. Plus d'un millier de salariés du site de Sao José Dos Pinhais ont en effet accepté un vaste plan de chômage technique pour éviter toute vague de licenciement.
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Le constructeur français présent au Brésil appuie violemment sur la pédale de frein et annonce un plan historiquement jamais enregistré en terre auriverde. Plus d'un millier de salariés du site de Sao José Dos Pinhais ont en effet accepté un vaste plan de chômage technique pour éviter toute vague de licenciement.
Selon les syndicats et les représentants du constructeur français au Brésil, ce plan de chômage partiel, affectant plus d'un millier d'employés, était inévitable afin d'adapter la production à la demande. Ce plan de chômage technique, d'une durée maximale de cinq mois, sera observé par les salariés du complexe de Sao José Dos Pinhais pourrait être étendu à d'autres sites Renault tout en pouvant être appliqué par d'autres constructeurs.
"C'est le seul moyen de préserver les emplois et d'éviter les licenciements secs", a confié l'un représentant des syndicats des métallurgistes. "Cet accord s'impose comme la solution idéale pour adapter la production à la demande tout en conservant la main d'uvre qualifiée dans l'entreprise lorsque l'activité automobile reprendra", a pour sa part souligné Axelle de Ladonchamps, attachée de presse de la firme au losange au Brésil. Un fonds d'aide mis en place par le gouvernement brésilien conjugué à une partie des salaires versés par Renault permettra aux employés de toucher l'intégralité de leur revenu.
Pour information, en 2008, le marché brésilien a grimpé de 14,5 % à plus de 2,8 millions d'unités alors que les prévisions du début de l'année tablaient sur un volume global de plus de 3 millions d'unités. Quant à Renault, ses ventes en 2008 ont augmenté de manière conséquente à +56,4 % à 115 100 unités...
Le constructeur français présent au Brésil appuie violemment sur la pédale de frein et annonce un plan historiquement jamais enregistré en terre auriverde. Plus d'un millier de salariés du site de Sao José Dos Pinhais ont en effet accepté un vaste plan de chômage technique pour éviter toute vague de licenciement.