Sur que le constructeur indien aurait préféré déjà pouvoir commercialiser sa Nano. Oui mais voilà, en raison des conflits opposant les propriétaires de terres aux industriels, la production a pris du retard se traduisant directement sur des délais allongés avant les premières livraisons de la microcar. En attendant Tata subit aussi de plein fouet le ralentissement économique en Inde. Pour le mois de décembre, le groupe a tout simplement vu ses ventes s'effriter de moitié.
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Sur que le constructeur indien aurait préféré déjà pouvoir commercialiser sa Nano. Oui mais voilà, en raison des conflits opposant les propriétaires de terres aux industriels, la production a pris du retard se traduisant directement sur des délais allongés avant les premières livraisons de la microcar. En attendant Tata subit aussi de plein fouet le ralentissement économique en Inde. Pour le mois de décembre, le groupe a tout simplement vu ses ventes s'effriter de moitié.
Le ralentissement global de l'économie conjugué à un durcissement de l'accès au crédit, tout comme un mois de décembre traditionnellement plus calme en Inde, se répercutent sur les ventes du groupe Tata. En décembre 2008, par rapport à décembre 2007, la commercialisation des véhicules particuliers a chuté de 47 % à 25 219 unités et de 51 % pour les véhicules à usage commercial.
Ce recul a également touché Maruti Suzuki India (détenu à 54 % par le Japonais) dont les chiffres de décembre ont fait état d'une perte de 10 % à période similaire en 2007. Sur le marché indien, les constructeurs attendent beaucoup de ce mois de janvier synonyme de nombreuses offres commerciales et rabais pour doper de nouveau le secteur. Quant à Tata, inutile de répéter l'importance et l'enjeu symbolisés par la Nano.
Mise à jour du billet à venir avec les chiffres de l'année 2008.
Sur que le constructeur indien aurait préféré déjà pouvoir commercialiser sa Nano. Oui mais voilà, en raison des conflits opposant les propriétaires de terres aux industriels, la production a pris du retard se traduisant directement sur des délais allongés avant les premières livraisons de la microcar. En attendant Tata subit aussi de plein fouet le ralentissement économique en Inde. Pour le mois de décembre, le groupe a tout simplement vu ses ventes s'effriter de moitié.
