Résumé des épisodes précédents. General Motors ne compte plus sur Saab. General Motors compte donc revendre sa filiale nordique. Sauf que les acheteurs ne se pressent pas pour formuler une offre. Le gouvernement suédois refusant la nationalisation du constructeur n'écarte pas néanmoins une enveloppe pour soutenir son constructeur. Mais dans l'optique de bénéficier de cette aide pécuniaire, les acteurs politiques suédois en charge du dossier demandent au géant américain de clarifier sa position. Celle-ci semble pourtant limpide...
Dans l'attente de la reprise de Saab, General Motors ne verrait pas d'un mauvais oeil le plan de soutien avancé par le gouvernement suédois à hauteur de 28 milliards de couronnes, soit environ 2,7 milliards d'euros. A l'exception que les décideurs politiques réclament un plan clair sur les orientations prévues par GM envers Saab.
Le constructeur américain ne cache pourtant plus depuis des semaines ses intentions. Alors ? "Nous souhaitons un projet crédible détaillant un plan à moyen terme pour Saab dans le cas de baisse continue des ventes. Sans ce scénario, nous n'avancerons aucune garantie financière", a prévenu le secrétaire d'Etat en charge des entreprises.
A moyen terme, et même à court terme, General Motors, comme déjà précisé, ne veut tout simplement plus de Saab en raison de ses problèmes importants de trésorerie. Difficile alors d'imaginer la présentation d'un plan ambitieux pour une marque appellée à disparaître du giron GM.
Résumé des épisodes précédents. General Motors ne compte plus sur Saab. General Motors compte donc revendre sa filiale nordique. Sauf que les acheteurs ne se pressent pas pour formuler une offre. Le gouvernement suédois refusant la nationalisation du constructeur n'écarte pas néanmoins une enveloppe pour soutenir son constructeur. Mais dans l'optique de bénéficier de cette aide pécuniaire, les acteurs politiques suédois en charge du dossier demandent au géant américain de clarifier sa position. Celle-ci semble pourtant limpide...