General Motors recherche acheteur désespérément pour Saab
Dans sa démarche affichée de perdre des kilogrammes sur la balance et de tenter (chose faite désormais) de convaincre les différents décideurs politiques et économiques américains, General Motors mettait notamment dans la balance la vente de plusieurs de ses marques. Si celle de Hummer flottait depuis longtemps, celle de Saab devenait dès lors plus concrète. Depuis les experts mandatés par le constructeur américain, pour résumer clairement en un verbe, rament...
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Dans sa démarche affichée de perdre des kilogrammes sur la balance et de tenter (chose faite désormais) de convaincre les différents décideurs politiques et économiques américains, General Motors mettait notamment dans la balance la vente de plusieurs de ses marques. Si celle de Hummer flottait depuis longtemps, celle de Saab devenait dès lors plus concrète. Depuis les experts mandatés par le constructeur américain, pour résumer clairement en un verbe, rament...
Quel acheteur pour Saab ? Les pistes plus ou moins officielles, donc plus ou moins officieuses, s'évanouissent l'une après l'autre avec, en dernier lieu, l'affirmation de Renault de ne pas prendre cas de la vente de la marque suédoise. Aujourd'hui General Motors n'a finalement aucune piste sérieuse pour revendre une marque qu'il détient à 50 % depuis 1989 et entièrement depuis la fin des années 1990 (1999).
Le rapport euro/dollar fait également que chacune des Saab vendues actuellement aux USA l'est à perte. En attendant pour renflouer les caisses de Saab, et accessoirement dans un autre cas celles de Volvo, General Motors (et donc Ford) appelle le gouvernement suédois à injecter de l'argent ce qu'il mit en oeuvre à hauteur de plus de trois milliards de dollars. Quant à la vente de Hummer, serpent de mer depuis plusieurs mois, aucune nouvelle. Et dans cas pas, cela signifie tout sauf bonne nouvelle.
Dans sa démarche affichée de perdre des kilogrammes sur la balance et de tenter (chose faite désormais) de convaincre les différents décideurs politiques et économiques américains, General Motors mettait notamment dans la balance la vente de plusieurs de ses marques. Si celle de Hummer flottait depuis longtemps, celle de Saab devenait dès lors plus concrète. Depuis les experts mandatés par le constructeur américain, pour résumer clairement en un verbe, rament...