Depuis plusieurs semaines, malgré des tentatives plus ou moins désespérées de taire les réelles intentions de son propriétaire, on sait officiellement que l'avenir du constructeur suédois ne s'inscrira plus sous la bannière étoilée de Ford. Le constructeur américain demande six milliards de dollars pour Volvo avant de se délester définitivement de la firme. Les repreneurs ne se bousculent pas au portillon alors que Ford aurait fait savoir que la situation devait être définitivement réglée avant la fin du mois de février. Le compte-à-rebours est plus qu'enclenché.
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Depuis plusieurs semaines, malgré des tentatives plus ou moins désespérées de taire les réelles intentions de son propriétaire, on sait officiellement que l'avenir du constructeur suédois ne s'inscrira plus sous la bannière étoilée de Ford. Le constructeur américain demande six milliards de dollars pour Volvo avant de se délester définitivement de la firme. Les repreneurs ne se bousculent pas au portillon alors que Ford aurait fait savoir que la situation devait être définitivement réglée avant la fin du mois de février. Le compte-à-rebours est plus qu'enclenché.
Ford communiquera aux investisseurs potentiels l'intégralité des documents de la vente aux alentours de la mi-février pour une cession totale à la fin de ce même mois. Soit. Mais à moins d'avoir raté un épisode majeur, jusqu'ici aucune offre concrète n'est parvenue sur le bureau des responsables américains du dossier.
Comme l'expliquait Jonathan ici, quelques pistes mènent vers SAIC, Chery ou ChangAn. Entre les premières rumeurs et ce début de semaine, la donne a évolué pour chacun des acteurs précédemment cités. SAIC visiblement en mal de liquidités et qui a peiné pour soutenir Ssangyong ne semble plus apte financièrement à formuler une offre.
Chery souhaitant grimper en gamme ne disposerait pas non plus des fonds suffisants. Enfin ChangAn (produisant déjà des S40 et S60 par le biais de sa joint-venture avec Mazda et Ford) vient de traverser un exercice 2008 compliqué. Tout pourrait finalement évoluer plus rapidement si Ford baissait ses exigeances financières.
Depuis plusieurs semaines, malgré des tentatives plus ou moins désespérées de taire les réelles intentions de son propriétaire, on sait officiellement que l'avenir du constructeur suédois ne s'inscrira plus sous la bannière étoilée de Ford. Le constructeur américain demande six milliards de dollars pour Volvo avant de se délester définitivement de la firme. Les repreneurs ne se bousculent pas au portillon alors que Ford aurait fait savoir que la situation devait être définitivement réglée avant la fin du mois de février. Le compte-à-rebours est plus qu'enclenché.