De longues semaines après les premières négociations, revirements de situation, discussions plus ou moins houleuses, le gouvernement américain a accédé aux demandes pressantes des constructeurs US en débloquant les fonds prévus dans le cadre de crédits. Chrysler vient ainsi de recevoir quatre milliards de dollars alors que la direction du groupe tablait sur la somme de sept milliards de dollars. Une rallonge pourrait donc être délivrée en supplément dans les prochaines semaines.
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De longues semaines après les premières négociations, revirements de situation, discussions plus ou moins houleuses, le gouvernement américain a accédé aux demandes pressantes des constructeurs US en débloquant les fonds prévus dans le cadre de crédits. Chrysler vient ainsi de recevoir quatre milliards de dollars alors que la direction du groupe tablait sur la somme de sept milliards de dollars. Une rallonge pourrait donc être délivrée en supplément dans les prochaines semaines.
Tout vient à point à qui sait attendre (et marteler son message). En proie à une situation financière catastrophique, une faillite ayant été même évoquée à maintes reprises et des cabinet spécialisés dans les liquidation mandatés pour étudier toute possibilité, Chrysler nécessitait impérativement un soutien de l'état US afin de satisfaire ses besoins de financement à court terme.
Le prêt d'urgence de quatre milliards de dollars vient ainsi d'être versé. "Ce prêt initial permettra au groupe de poursuivre les différentes phases de restructuration engagées", s'est exprimé Robert Nardelli, le directeur général de Chrysler
Ces fonds publics serviront dans un premier temps à Chrysler pour régler ses créances aux fournisseurs et équipementiers. General Motors a également reçu la somme de quatre milliards de dollars. Dans un second temps, les deux constructeurs devraient bénéficier d'une enveloppe supplémentaire (à hauteurs financières différentes) à condition de témoigner de leur démarche de l'utilisation de ces fonds "pour devenir viables financièrement" et démontrer, avant le 31 mars, leur remise sur le chemin de la rentabilité. A suivre donc.
De longues semaines après les premières négociations, revirements de situation, discussions plus ou moins houleuses, le gouvernement américain a accédé aux demandes pressantes des constructeurs US en débloquant les fonds prévus dans le cadre de crédits. Chrysler vient ainsi de recevoir quatre milliards de dollars alors que la direction du groupe tablait sur la somme de sept milliards de dollars. Une rallonge pourrait donc être délivrée en supplément dans les prochaines semaines.