Voilà qui devrait couper court, du moins durant quelques jours, aux rumeurs faisant état de vues portées par le constructeur Renault sur les filiales européennes de General Motors et Ford. Un porte-parole du groupe français a tenu à clarifier la situation. Non et non comme autant de réponses aux désirs d'achat de la firme au losange.
Zapping Le Blogauto Essai de La Mazda MX30 R-EV
Voilà qui devrait couper court, du moins durant quelques jours, aux rumeurs faisant état de vues portées par le constructeur Renault sur les filiales européennes de General Motors et Ford. Un porte-parole du groupe français a tenu à clarifier la situation. Non et non comme autant de réponses aux désirs d'achat de la firme au losange.
"Renault ne négocie pas avec General Motors dans le rachat de Saab ni avec Ford dans le rachat de Volvo", a déclaré un porte-parole du constructeur français. On sait désormais officiellement que les deux groupes américains cherchent à vendre leur filiale européenne dans le but de récupérer des liquidités financières.
Renault ne serait donc pas pour l'heure candidat à formuler une offre pour l'une ou l'autre se fermant dès lors, et notamment, les portes d'un retour sur le marché américain sans parler d'ajouter concrètement une marque premium à son catalogue. "Il y a beaucoup de repreneurs en Europe et hors de l'union européenne qui sembleraient intéressés", a pour sa part indiqué Jan Aake Jonsson, PDG de Saab, dans un entretien accordé à une radio suédoise.
General Motors et Ford devant impérativement disposer de liquidités dans les plus brefs délais, la situation de Saab et de Volvo pourrait se décanter très prochainement. A suivre alors. Mais sans Renault dans le bal des prétendants donc (à moins d'un rapprochement avec Volvo AB dont il détient 20 % ?)...
Voilà qui devrait couper court, du moins durant quelques jours, aux rumeurs faisant état de vues portées par le constructeur Renault sur les filiales européennes de General Motors et Ford. Un porte-parole du groupe français a tenu à clarifier la situation. Non et non comme autant de réponses aux désirs d'achat de la firme au losange.