Commençons par le nom : Himiko était la reine de Yamataikoku, une incarnation ancienne du Japon, autour du 3ème siècle. L'inspiration est dans la même veine de mythologie locale que la bouleversifiante Orochi, mais l'exécution est toute différente. Fini le délire graphique sans filet, et retour à ce que Mitsuoka sait faire de mieux: l'hommage tongue in cheek à l'automobile britannique sur base japonaise. Cette fois c'est la Mazda MX-5 qui se prête à l'exercice, et se transforme en un roadster classique tout en gardant son toit rétractable, une gageure dont Mitsuoka se tire assez élégamment.
Zapping Le Blogauto La Porsche Panamera en avant premiere
Commençons par le nom : Himiko était la reine de Yamataikoku, une incarnation ancienne du Japon, autour du 3ème siècle. L'inspiration est dans la même veine de mythologie locale que la bouleversifiante Orochi, mais l'exécution est toute différente. Fini le délire graphique sans filet, et retour à ce que Mitsuoka sait faire de mieux: l'hommage tongue in cheek à l'automobile britannique sur base japonaise. Cette fois c'est la Mazda MX-5 qui se prête à l'exercice, et se transforme en un roadster classique tout en gardant son toit rétractable, une gageure dont Mitsuoka se tire assez élégamment.
L'Himiko est une vraie voiture de production, disponible en 3 versions (Standard, Premium et Hi Premium) équipées du 2l essence de 170 chevaux de la Mazda et comme cette dernière au choix d'une boîte mécanique à six rapports ou d'une boîte automatique pareillement échelonnée. L'intérieur reçoit un traitement beaucoup plus posh que la Mazda, ce qui avec le travail conséquent de carrosserie et l'exclusivité de la chose devra justifier un tarif s'étalant entre 4.950.000 yens et 5.650.000 yens, à peu près le prix d'une BMW Z4 ou d'une Porsche Boxster d'entrée de gamme, et le double de la Mazda Roadster équivalente...
Commençons par le nom : Himiko était la reine de Yamataikoku, une incarnation ancienne du Japon, autour du 3ème siècle. L'inspiration est dans la même veine de mythologie locale que la bouleversifiante Orochi, mais l'exécution est toute différente. Fini le délire graphique sans filet, et retour à ce que Mitsuoka sait faire de mieux: l'hommage tongue in cheek à l'automobile britannique sur base japonaise. Cette fois c'est la Mazda MX-5 qui se prête à l'exercice, et se transforme en un roadster classique tout en gardant son toit rétractable, une gageure dont Mitsuoka se tire assez élégamment.