Il ne se passe pratiquement pas une journée depuis plusieurs semaines déjà sans qu'un constructeur n'annonce un plan social induisant des suppressions d'emplois, des non reconductions de contrats temporaires ou des périodes de chômage partiel. Au pays du soleil levant, Nissan dévoile un nouveau plan taillant dans les effectifs afin d'adapter son nombre de salariés à une production revue à la baisse.
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Il ne se passe pratiquement pas une journée depuis plusieurs semaines déjà sans qu'un constructeur n'annonce un plan social induisant des suppressions d'emplois, des non reconductions de contrats temporaires ou des périodes de chômage partiel. Au pays du soleil levant, Nissan dévoile un nouveau plan taillant dans les effectifs afin d'adapter son nombre de salariés à une production revue à la baisse.
Les 500 emplois supprimés, des contrats à durée déterminée (donc on dira davantage des CDD non reconduits), le seront concrètement entre janvier et mars et dispatchés au cur des trois usines appelées à fortement réduire la cadence. Sont donc concernés les complexes industriels japonais de Kyushu, Tochigi et Oppama dont la production, globale, chutera de 78 000 unités en 2009. A la fin du mois de mars selon Nissan, le groupe ne devrait plus compter aucun employé en CCD ou intérimaire.
Et le constructeur de sortir malheureusement l'habituel discours dans ce cas en guise de justificatif : "Ces réductions supplémentaires sont nécessaires pour gérer nos niveaux de stocks tout en gardant une production équilibrée afin de répondre à la chute continue des ventes". Supplémentaire car, en octobre dernier, 3 500 suppressions d'emplois avaient déjà été pratiquées mais à l'échelon mondial cette fois.
Il ne se passe pratiquement pas une journée depuis plusieurs semaines déjà sans qu'un constructeur n'annonce un plan social induisant des suppressions d'emplois, des non reconductions de contrats temporaires ou des périodes de chômage partiel. Au pays du soleil levant, Nissan dévoile un nouveau plan taillant dans les effectifs afin d'adapter son nombre de salariés à une production revue à la baisse.