Crise : 48 000 salariés de Fiat au repos forcé pour un mois
Comme nous l'avions expliqué en quelques lignes ici dans un premier temps, Fiat prenait la décision de fermer temporairement ses sites industriels (début le 8 décembre dernier) jusqu'au 11 janvier prochain afin de réguler sa production en fonction de la baisse de ses ventes sur les marchés européens. Il manquait deux données importantes : le nombre de salariés et de sites industriels touchés par le plan. On en sait davantage aujourd'hui.
Zapping Le Blogauto Essai de l'Abarth 500E
Comme nous l'avions expliqué en quelques lignes ici dans un premier temps, Fiat prenait la décision de fermer temporairement ses sites industriels (début le 8 décembre dernier) jusqu'au 11 janvier prochain afin de réguler sa production en fonction de la baisse de ses ventes sur les marchés européens. Il manquait deux données importantes : le nombre de salariés et de sites industriels touchés par le plan. On en sait davantage aujourd'hui.
Et ces chiffres font mal. Très mal. Sur les vingt usines italiennes du groupe Fiat, quatorze ont d'ores et déjà fermé leurs portes pour une réouverture programmée au mieux le 11 janvier de l'année prochaine. Soit un total de 48 000 salariés, sur les 80 000 du groupe, contraints au chômage technique. L'Etat italien devrait assurer le versement d'une partie des salaires pour compenser les pertes induites par ce plan (pas de renseignements chiffrés complémentaires).
Dans un communiqué Fiat indique pourtant que ses parts de marché en Europe ont grimpé entre 2007 et 2008 passant de 8,2 % à 8,3 % soit un total de 1,53 millions d'unités écoulées sur les onze premiers mois de l'année.
Augmentation des parts de marché certes, mais baisse conséquente du volume des ventes quand on sait que Fiat avait, sur la totalité de 2007, commercialisé 2,2 millions d'unités.
Comme nous l'avions expliqué en quelques lignes ici dans un premier temps, Fiat prenait la décision de fermer temporairement ses sites industriels (début le 8 décembre dernier) jusqu'au 11 janvier prochain afin de réguler sa production en fonction de la baisse de ses ventes sur les marchés européens. Il manquait deux données importantes : le nombre de salariés et de sites industriels touchés par le plan. On en sait davantage aujourd'hui.