Tata Motors appelle le gouvernement britannique à un soutien financier
Dans l'optique de traverser plus "sereinement" la crise automobile actuelle, Tata Motors, propriétaire de Jaguar et Land Rover, serait en train de négocier avec le gouvernement britannique pour l'obtention d'un prêt financier. Question subsidiaire ? L'émissaire du constructeur indien s'est-il rendu à la réunion de travail en jet privé ? Plus sérieusement, Tata Motors devrait évidemment mettre dans la balance les milliers d'emplois sur le sol britannique. Une pression suffisante pour dicter le choix final du gouvernement de Gordon Brown ?
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Dans l'optique de traverser plus "sereinement" la crise automobile actuelle, Tata Motors, propriétaire de Jaguar et Land Rover, serait en train de négocier avec le gouvernement britannique pour l'obtention d'un prêt financier. Question subsidiaire ? L'émissaire du constructeur indien s'est-il rendu à la réunion de travail en jet privé ? Plus sérieusement, Tata Motors devrait évidemment mettre dans la balance les milliers d'emplois sur le sol britannique. Une pression suffisante pour dicter le choix final du gouvernement de Gordon Brown ?
Rachetés à Ford après des mois de négociations serrées, Jaguar et Land Rover subissent également les ralentissements des divers marchés mondiaux. Alors que les deux groupes travaillent au développement de modèles, comme les C-XE et C-XJ chez Jaguar, ils rencontrent des difficultés lesquelles se traduisent, comme partout, par des périodes de chômage technique ou des plans de suppressions d'emplois.
Pour répondre à la crise Tata Motors étudierait actuellement avec le gouvernement britannique le déblocage d'un prêt de 1 milliard de livres Sterling soit environ 1,2 milliards d'euros. Gordon Brown se serait donné deux semaines de réflexion avant de donner une réponse négative ou positive.
Pour mémoire les deux marques Jaguar et Land Rover emploient actuellement 15 000 salariés au Royaume-Uni. Outre-Manche et Outre-Atlantique, une aide financière des états s'affiche désormais comme incontournable pour soutenir un secteur plus que fragilisé.
Dans l'optique de traverser plus "sereinement" la crise automobile actuelle, Tata Motors, propriétaire de Jaguar et Land Rover, serait en train de négocier avec le gouvernement britannique pour l'obtention d'un prêt financier. Question subsidiaire ? L'émissaire du constructeur indien s'est-il rendu à la réunion de travail en jet privé ? Plus sérieusement, Tata Motors devrait évidemment mettre dans la balance les milliers d'emplois sur le sol britannique. Une pression suffisante pour dicter le choix final du gouvernement de Gordon Brown ?