Menace de crash : General Motors restitue deux des sept jets en location
On sait désormais officiellement depuis de longues semaines que les constructeurs américains, dont General Motors, traversent une très forte zone de turbulences. Sur le vol GM, le commandant de bord Rick Wagoner est du reste assis sur un siège éjectable. La dernière controverse en date outre-Atlantique porte justement sur une histoire de coucous. Pas n'importe quel genre d'avions bien évidemment. Auditionné par une commission dans le cadre du vaste plan de sauvetage, le PDG de General Motors a été sévèrement pointé du doigt par plusieurs parlementaires le blâmant sur l'utilisation de jets privés. Pas de quoi toutefois heureusement remettre en cause l'opération Mayday du secteur automobile US.
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On sait désormais officiellement depuis de longues semaines que les constructeurs américains, dont General Motors, traversent une très forte zone de turbulences. Sur le vol GM, le commandant de bord Rick Wagoner est du reste assis sur un siège éjectable. La dernière controverse en date outre-Atlantique porte justement sur une histoire de coucous. Pas n'importe quel genre d'avions bien évidemment. Auditionné par une commission dans le cadre du vaste plan de sauvetage, le PDG de General Motors a été sévèrement pointé du doigt par plusieurs parlementaires le blâmant sur l'utilisation de jets privés. Pas de quoi toutefois heureusement remettre en cause l'opération Mayday du secteur automobile US.
Des années en arrière quand que le secteur automobile US volait en hautes altitudes, nul doute qu'une telle polémique n'aurait jamais éclaté. Aujourd'hui la donne a changé. Muté même vu la crise frappant l'univers sur quatre roues américain. Histoire de faire retomber la pression, Tom Wilkinson, porte-parole de General Motors, a tenu à indiquer que son groupe allait prochainement restituer deux des sept avions privés encore sous contrat de leasin
"Nous allons mener une politique de réduction très agressive des dépenses de voyage", a-t-il confirmé. Désormais gagner la capitale fédérale à bord d'un jet privé pour demander une aide publique à hauteur de 25 milliards de dollars ne passe pas. Sutout quand celui-ci est estimé aux alentours de 20 000 billets verts contre vingt fois moins pour un vol commercial classique. Au début du mois de septembre General Motors avait pourtant déjà rendu deux jets. Insuffisant.
De son côté, ayant senti le vent tourner, un porte-parole de Ford a confié que le constructeur comptait prochainement mettre en vente un ou plusieurs de ses avions privés. Pas de déclaration officielle chez Chrysler dont on ne sait pas (même si l'on peut le deviner) si le groupe possède ou loue un ou plusieurs avions.
Ce type d'escarmouche entre certains hommes politiques et les pontes du Big Three montrent, si besoin était, la vive tension actuelle générée par le crash (espérons passager) du secteur auto US. Et l'obligation de survie pour les constructeurs à économiser à tous les étages. Mais cela on le savait déjà à travers d'autres plans drastiques...
On sait désormais officiellement depuis de longues semaines que les constructeurs américains, dont General Motors, traversent une très forte zone de turbulences. Sur le vol GM, le commandant de bord Rick Wagoner est du reste assis sur un siège éjectable. La dernière controverse en date outre-Atlantique porte justement sur une histoire de coucous. Pas n'importe quel genre d'avions bien évidemment. Auditionné par une commission dans le cadre du vaste plan de sauvetage, le PDG de General Motors a été sévèrement pointé du doigt par plusieurs parlementaires le blâmant sur l'utilisation de jets privés. Pas de quoi toutefois heureusement remettre en cause l'opération Mayday du secteur automobile US.