La Xiali était un solide best-seller Chinois. Mais après 20 ans de carrière, son nouveau lifting fut à la fois trop timide et trop tardif. Le public lui préféra des citadines plus modernes. FAW, la maison-mère, a décidé d'interrompre la fabrication de cette Daihatsu Charade sous licence en 2009.
Zapping Le Blogauto Essai Citroën e-C4X de 136ch
La Xiali était un solide best-seller Chinois. Mais après 20 ans de carrière, son nouveau lifting fut à la fois trop timide et trop tardif. Le public lui préféra des citadines plus modernes. FAW, la maison-mère, a décidé d'interrompre la fabrication de cette Daihatsu Charade sous licence en 2009.
Certains d'entre-vous comptent sans doute sortir le champagne: "Un constructeur Chinois en moins!" Sauf qu'en parallèle de la Daihatsu Charade, Xiali commercialisait d'autres modèles, les Weizhi (première et deuxième photos.) Désormais, Weizhi deviendra une marque à part entière. Elle sera ensuite épaulée par la future TFC-M1.
FAW nous promet que les Weizhi '09 seront plus fiables, plus sures et plus confortables. Mais la seule nouveauté tangible, c'est l'apparition d'une boite automatique Magnetti-Marelli.
Pour info, ce tour de passe-passe n'est pas une nouveauté. A l'origine de Xiali, il y avait Huali. Cette entreprise est née en 1980 pour fabriquer des minivans Daihatsu sous licence. Elle produisit ensuite la Charade sous licence. Les débuts furent laborieux, puis la demande explosa. Huali créa alors une société-soeur, Xiali, pour la Charade. En 2002, l'état décida que Xiali et Huali seraient absorbé par FAW, pour renforcer le constructeur étatique. Huali a disparu en 2006.
La Xiali était un solide best-seller Chinois. Mais après 20 ans de carrière, son nouveau lifting fut à la fois trop timide et trop tardif. Le public lui préféra des citadines plus modernes. FAW, la maison-mère, a décidé d'interrompre la fabrication de cette Daihatsu Charade sous licence en 2009.