Et si les deux géants malades de l'industrie automobile américaine officialisaient leur union avant le 4 novembre prochain, jour de l'élection présidentielle aux USA ? C'est en tout cas ce que croit savoir le Detroit News alors que la rumeur de la fusion entre General Motors et Chrysler ne cesse d'enfler outre-Atlantique. Un nouveau cap a été franchi entre les deux parties puisque leurs créanciers respectifs se sont rencontrés en fin de semaine dernière. Cerberus, actionnaire à 80 % de Chrysler, et la banque JP Morgan Chase auraient donc passé la vitesse supérieure. Un dénouement devrait intervenir très rapidement alors que les liquidés des deux groupes continuent à se réduire (dangereusement) comme peau de chagrin.
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Et si les deux géants malades de l'industrie automobile américaine officialisaient leur union avant le 4 novembre prochain, jour de l'élection présidentielle aux USA ? C'est en tout cas ce que croit savoir le Detroit News alors que la rumeur de la fusion entre General Motors et Chrysler ne cesse d'enfler outre-Atlantique. Un nouveau cap a été franchi entre les deux parties puisque leurs créanciers respectifs se sont rencontrés en fin de semaine dernière. Cerberus, actionnaire à 80 % de Chrysler, et la banque JP Morgan Chase auraient donc passé la vitesse supérieure. Un dénouement devrait intervenir très rapidement alors que les liquidés des deux groupes continuent à se réduire (dangereusement) comme peau de chagrin.
Les créanciers majoritaires respectifs de Chrysler et de General Motors mettent les bouchées doubles dans l'optique d'une fusion entre les deux constructeurs automobiles américains. Alors que les dernières informations laissaient entendre qu'il faudrait plusieurs longues semaines avant que le dossier n'aboutisse, les finances alarmantes de GM et Chrysler ont conduit la banque JP Morgan Chase et Cerberus à accélérer la cadence.
En clair ? Agir vite avant de sombrer définitivement. Les deux groupes en mal de liquidités (GM perdrait un milliard de dollars par mois pour plus de 66 milliards depuis 2005) et les ventes en baisse massive et continuelle imposent une réaction immédiate.
La fusion des deux entités permettrait concrètement de récupérer 11.7 milliards de dollars de trésorerie tout en disposant d'une part conséquente du plan de soutien (enveloppe à hauteur de 25 milliards de dollars) récemment validé par les différentes autorités politiques américaines.
Cette fusion se traduira indubitablement par une restructuration gigantesque : réseau de distribution, sites de production ou positionnement des marques (suppression ?) par exemple. Sans évidemment oublier d'évoquer les plans sociaux.
Et si les deux géants malades de l'industrie automobile américaine officialisaient leur union avant le 4 novembre prochain, jour de l'élection présidentielle aux USA ? C'est en tout cas ce que croit savoir le Detroit News alors que la rumeur de la fusion entre General Motors et Chrysler ne cesse d'enfler outre-Atlantique. Un nouveau cap a été franchi entre les deux parties puisque leurs créanciers respectifs se sont rencontrés en fin de semaine dernière. Cerberus, actionnaire à 80 % de Chrysler, et la banque JP Morgan Chase auraient donc passé la vitesse supérieure. Un dénouement devrait intervenir très rapidement alors que les liquidés des deux groupes continuent à se réduire (dangereusement) comme peau de chagrin.
