Faillite. En remontant seulement quelques mois en arrière, une telle possibilité frappant un constructeur américain, parfois évoquée, était immédiatement balayée d'un revers de main. La conjoncture économique a depuis empiré aux USA. Les ventes de véhicules neufs régressent mois après mois. Le cours des producteurs US d'automobiles dévisse à la bourse. Alors le terme de faillite refait logiquement surface. Après GM et Chrysler étudiant une éventuelle fusion, différentes sources laissent entendre que Ford songerait, conditionnel, à se séparer de ses parts Mazda, quatrième constructeur japonais. Conditionnel donc mais également imparfait : déjà en août dernier la rumeur sur ce point circulait...
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Faillite. En remontant seulement quelques mois en arrière, une telle possibilité frappant un constructeur américain, parfois évoquée, était immédiatement balayée d'un revers de main. La conjoncture économique a depuis empiré aux USA. Les ventes de véhicules neufs régressent mois après mois. Le cours des producteurs US d'automobiles dévisse à la bourse. Alors le terme de faillite refait logiquement surface. Après GM et Chrysler étudiant une éventuelle fusion, différentes sources laissent entendre que Ford songerait, conditionnel, à se séparer de ses parts Mazda, quatrième constructeur japonais. Conditionnel donc mais également imparfait : déjà en août dernier la rumeur sur ce point circulait...
Selon la presse nipponne, Ford aurait entamé des discussions dans la vente de ses parts (33.9 %) Mazda. La vente ne représenterait que 20 % des parts pour un montant avoisinant le milliard de dollars (Ford conservant alors un rôle d'actionnaire). Outre Mazda, deux investisseurs japonais, Itochu Corp et Sumitomo Corp, pourraient être les acheteurs potentiels. Certaines rumeurs bruissent aussi autour d'un intérêt prononcé par Tata. De son côté Mazda a formellement démenti l'information laissant entendre ce désengagement partiel de Ford.
La relation entre Ford et Mazda date de 1979 quand le constructeur américain avait alors acquis 25 % du capital. Une part portée à 33.4 % en 1996 soit la prise du groupe vu la législation en vigueur au pays du soleil levant. En mal de liquidités financières Ford s'offrirait à court terme une bouffée d'oxygène. Reste que Mazda, malgré la crise automobile internationale, reste rentable. Oui mais voilà, depuis plus d'un an et demi les pertes nettes cumulées de Ford atteignent 24 milliards de dollars...
Faillite. En remontant seulement quelques mois en arrière, une telle possibilité frappant un constructeur américain, parfois évoquée, était immédiatement balayée d'un revers de main. La conjoncture économique a depuis empiré aux USA. Les ventes de véhicules neufs régressent mois après mois. Le cours des producteurs US d'automobiles dévisse à la bourse. Alors le terme de faillite refait logiquement surface. Après GM et Chrysler étudiant une éventuelle fusion, différentes sources laissent entendre que Ford songerait, conditionnel, à se séparer de ses parts Mazda, quatrième constructeur japonais. Conditionnel donc mais également imparfait : déjà en août dernier la rumeur sur ce point circulait...