Dans l'obligation de redresser la barre commerciale, de contenter les actionnaires, de rétablir les courbes de ventes et donc de s'adapter pragmatiquement aux nouvelles orientations d'achat des consommateurs américains (de par la hausse des prix à la pompe et un appétit grandissant pour les plus petites cylindrées), les dirigeants de Ford travaillent avec une vingtaine de leurs revendeurs sur un plan visant à cibler les véhicules européens appelés à entamer une carrière sur le sol US. L'information, déjà relayée avant d'être balayée d'un revers de main, refait donc surface. Pour de bon ?
Zapping Le Blogauto Essai de l'Abarth 500E
Dans l'obligation de redresser la barre commerciale, de contenter les actionnaires, de rétablir les courbes de ventes et donc de s'adapter pragmatiquement aux nouvelles orientations d'achat des consommateurs américains (de par la hausse des prix à la pompe et un appétit grandissant pour les plus petites cylindrées), les dirigeants de Ford travaillent avec une vingtaine de leurs revendeurs sur un plan visant à cibler les véhicules européens appelés à entamer une carrière sur le sol US. L'information, déjà relayée avant d'être balayée d'un revers de main, refait donc surface. Pour de bon ?
Un pas en avant. Un pas en arrière. Et finalement un nouveau pas en avant. Le géant américain Ford repenserait concrètement un plan de commercialisation sur le marché US de véhicules distribués en Europe. Ce projet à court et moyen terme (2010-2015) aurait été initié il y a quelques semaines entre les cols blancs du constructeur et une vingtaine de revendeurs majeurs.
Les parties étudieraient donc les tenants et les aboutissants d'une telle possibilité. Le C-Max de seconde génération et le Kuga (deux modèles à une telle destinée supputée ici) mais aussi la Fiesta, la Focus (plusieurs carrosseries) et la Focus CC pourraient alors atterrir chez les revendeurs du groupe. Plus étrangement, la Ka n'apparaîtrait pas dans les plans immédiats. Rien de plus concret pour l'heure.
Dans l'obligation de redresser la barre commerciale, de contenter les actionnaires, de rétablir les courbes de ventes et donc de s'adapter pragmatiquement aux nouvelles orientations d'achat des consommateurs américains (de par la hausse des prix à la pompe et un appétit grandissant pour les plus petites cylindrées), les dirigeants de Ford travaillent avec une vingtaine de leurs revendeurs sur un plan visant à cibler les véhicules européens appelés à entamer une carrière sur le sol US. L'information, déjà relayée avant d'être balayée d'un revers de main, refait donc surface. Pour de bon ?